Investing.com - Le dollar U.S. a fait mieux que résister face au yen ce mercredi, les craintes à propos de la gestion de la crise financière espagnole encourageant la demande pour les valeurs sûres, tandis que les propos du gouverneur adjoint de la Banque du Japon pesaient sur ce dernier.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 78.07 en début de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 23 juillet, puis s'est stabilisée vers 78.17, trébuchant de 0.01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 77.93, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 78.4, son plafond d'hier.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'est aujourd'hui élevé à 7.66%, dépassant largement le seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme pour éviter la faillite, confortant l'hypothèse selon laquelle le pays pourrait se retrouver exclu des marchés financiers internationaux.
Certains représentants de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International ont encore contribué à plomber l'atmosphère en estimant que la Grèce avait peu de chances de remplir les objectifs de son plan de sauvetage, ravivant les doutes sur son futur au sein du bloc euro.
Antonis Samaras, son premier ministre, avait auparavant avoué que l'économie nationale régresserait de plus de 7% cette année, rendant ses espoirs de réduction de l'endettement encore plus inaccessibles.
La devise nippone s'est quand à elle retrouvée sur la selette après qu'Hirohide Yamaguchi, membre du conseil directeur de la banque centrale japonaise, ait déclaré que cette dernière procèderait à davantage d'accomodements au cas où l'envolée de son unité monétaire devait mettre à mal l'avancée du pays vers une relance modeste.
Il a toutefois précisé qu'une telle décision n'allait pas être prise dans l'immédiat.
Une étude officielle avait auparavant révélé que le déficit du commerce extérieur national avait mieux redressé la barre qu'espéré, passant ainsi de 620 à 300 milliards de JPY pour juin.
Les experts redoutaient pourtant de le voir s'établir à 390 milliards pourr la période considérée.
La monnaie du pays du soleil levant a également cédé du terrain à l'euro, l'EUR/JPY gagnant 0.19% pour se hisser à 94.51.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler aujourd'hui le nombre des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire des réserves pétrolières nationales.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 78.07 en début de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 23 juillet, puis s'est stabilisée vers 78.17, trébuchant de 0.01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à court terme à 77.93, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 78.4, son plafond d'hier.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'est aujourd'hui élevé à 7.66%, dépassant largement le seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme pour éviter la faillite, confortant l'hypothèse selon laquelle le pays pourrait se retrouver exclu des marchés financiers internationaux.
Certains représentants de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International ont encore contribué à plomber l'atmosphère en estimant que la Grèce avait peu de chances de remplir les objectifs de son plan de sauvetage, ravivant les doutes sur son futur au sein du bloc euro.
Antonis Samaras, son premier ministre, avait auparavant avoué que l'économie nationale régresserait de plus de 7% cette année, rendant ses espoirs de réduction de l'endettement encore plus inaccessibles.
La devise nippone s'est quand à elle retrouvée sur la selette après qu'Hirohide Yamaguchi, membre du conseil directeur de la banque centrale japonaise, ait déclaré que cette dernière procèderait à davantage d'accomodements au cas où l'envolée de son unité monétaire devait mettre à mal l'avancée du pays vers une relance modeste.
Il a toutefois précisé qu'une telle décision n'allait pas être prise dans l'immédiat.
Une étude officielle avait auparavant révélé que le déficit du commerce extérieur national avait mieux redressé la barre qu'espéré, passant ainsi de 620 à 300 milliards de JPY pour juin.
Les experts redoutaient pourtant de le voir s'établir à 390 milliards pourr la période considérée.
La monnaie du pays du soleil levant a également cédé du terrain à l'euro, l'EUR/JPY gagnant 0.19% pour se hisser à 94.51.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler aujourd'hui le nombre des ventes de logements neufs, ainsi que leur inventaire des réserves pétrolières nationales.