Investing.com - Le dollar U.S. s'est retrouvé dans des ornières multimensuelles face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, après que la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne ait autorisé le pays à participer au nouveau fonds de secours permanent à la région, tout en subissant l'espoir d'accomodements de la part de la Réserve Fédérale.
En seconde partie de séance européenne, il a encore fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour grimper à 1.2899.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions par le président germanique du traité instaurant le MES, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
L'institution a en effet précisé que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
Les conclusions de la réunion de la Fed attendus demain faisaient aussi des gorges chaudes, les résultats décevants de l'emploi dévoilés vendredi ayant renforcé l'hypothèse d'un nouveau coup de pouce, tirant du coup l'étalon américain vers le bas.
Celui-ci a aussi vu son recul aggravé par l'agence Moody's, prévenant hier qu'elle pourrait dégrader la notation triple A des Etats-Unis au cas où les négociations budgétaires pour 2013 ne parvenaient pas à faire éclore de mesures susceptibles de réduire l'endettement national.
Le billet vert a cependant cédé moins de terrain à la livre sterling, le GBP/USD ne prenant plus que 0.12% pour se hisser à 1.6089.
Il était à noter que le Royaume-Uni comptait ce matin 15 000 demandeurs d'emploi de moins pour août, alors que 500 de plus étaient redoutés, donnant ainsi un coup de fouet à la devise de la Grande-Bretagne.
Le taux de chômage national a cependant augmenté, passant de 8 à 8.1%, alors que les experts espéraient qu'il y stagne.
Sa pression s'est toutefois exercée sur le yen, l'USD/JPY grignotant 0.11% pour se retrouver à 77.84, mais pas sur le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.27% pour tomber à 0.9365.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.07% pour aller vers 0.9738, l'AUD/USD raflant 0.34% pour monter à 1.0469 et le NZD/USD engrangeant 0.27% pour culminer à 0.8193.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.2% pour se situer à 79.84.
La chancelière allemande Angela Merkel a accueilli de son côté le verdict au sujet du MES avec le sourire, estimant que la journée avait été bonne pour son pays mais ausssi pour l'Europe.
En seconde partie de séance européenne, il a encore fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour grimper à 1.2899.
L'arrêt de la cour constitutionnelle allemande a ainsi donné son feu vert à la ratification sous conditions par le président germanique du traité instaurant le MES, permettant du même coup à la Banque Centrale Européenne d'entamer son programme d'achats d'actifs.
L'institution a en effet précisé que l'engagement national ne devait pas dépasser 190 milliards d'euros sans l'aval des députés, et que le parlement devait être tenu au courant des décisions à ce sujet.
Les conclusions de la réunion de la Fed attendus demain faisaient aussi des gorges chaudes, les résultats décevants de l'emploi dévoilés vendredi ayant renforcé l'hypothèse d'un nouveau coup de pouce, tirant du coup l'étalon américain vers le bas.
Celui-ci a aussi vu son recul aggravé par l'agence Moody's, prévenant hier qu'elle pourrait dégrader la notation triple A des Etats-Unis au cas où les négociations budgétaires pour 2013 ne parvenaient pas à faire éclore de mesures susceptibles de réduire l'endettement national.
Le billet vert a cependant cédé moins de terrain à la livre sterling, le GBP/USD ne prenant plus que 0.12% pour se hisser à 1.6089.
Il était à noter que le Royaume-Uni comptait ce matin 15 000 demandeurs d'emploi de moins pour août, alors que 500 de plus étaient redoutés, donnant ainsi un coup de fouet à la devise de la Grande-Bretagne.
Le taux de chômage national a cependant augmenté, passant de 8 à 8.1%, alors que les experts espéraient qu'il y stagne.
Sa pression s'est toutefois exercée sur le yen, l'USD/JPY grignotant 0.11% pour se retrouver à 77.84, mais pas sur le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.27% pour tomber à 0.9365.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.07% pour aller vers 0.9738, l'AUD/USD raflant 0.34% pour monter à 1.0469 et le NZD/USD engrangeant 0.27% pour culminer à 0.8193.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.2% pour se situer à 79.84.
La chancelière allemande Angela Merkel a accueilli de son côté le verdict au sujet du MES avec le sourire, estimant que la journée avait été bonne pour son pays mais ausssi pour l'Europe.