Celyad dit avoir achevé le premier semestre 2016 avec une trésorerie 'solide' en dépit d'un léger creusement de ses pertes sur la période.
La 'biotech' a fait état jeudi matin d'un niveau de trésorerie et d'investissement à court terme de 86 millions d'euros en date du 30 juin dernier, contre 107,5 millions d'euros un an plus tôt.
La société précise dans son communiqué que les 86 millions d'euros dont elle dispose n'inclut pas encore un paiement des 11 millions d'euros devant être versés par ONO Pharmaceuticals dans le cadre de leur accord de licence.
Pour Celyad - dont la thérapie cellulaire C-Cure n'a pas atteint son critère d'évaluation principal en phase III - cette trésorerie offre de nombreuses perspectives pour le développement de ses futures activités en immuno-oncologie.
L'entreprise, qui évoque toutefois des des résultats 'statistiquement significatifs' du point de vue clinique, dit avoir l'intention de rencontrer les autorités réglementaires en Europe et aux Etats-Unis pour défendre sa technologie 'prometteuse'.
Sur les six premiers mois de l'année, ses pertes opérationnelles se sont montées à 17,2 millions d'euros contre 15,1 millions d'euros un an plus tôt, notamment en raison de dépenses en recherche et développement en hausse à 14,8 millions d'euros.
Le titre était en baisse de 1,8% à 22 euros dans les premiers échanges sur Euronext.
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La 'biotech' a fait état jeudi matin d'un niveau de trésorerie et d'investissement à court terme de 86 millions d'euros en date du 30 juin dernier, contre 107,5 millions d'euros un an plus tôt.
La société précise dans son communiqué que les 86 millions d'euros dont elle dispose n'inclut pas encore un paiement des 11 millions d'euros devant être versés par ONO Pharmaceuticals dans le cadre de leur accord de licence.
Pour Celyad - dont la thérapie cellulaire C-Cure n'a pas atteint son critère d'évaluation principal en phase III - cette trésorerie offre de nombreuses perspectives pour le développement de ses futures activités en immuno-oncologie.
L'entreprise, qui évoque toutefois des des résultats 'statistiquement significatifs' du point de vue clinique, dit avoir l'intention de rencontrer les autorités réglementaires en Europe et aux Etats-Unis pour défendre sa technologie 'prometteuse'.
Sur les six premiers mois de l'année, ses pertes opérationnelles se sont montées à 17,2 millions d'euros contre 15,1 millions d'euros un an plus tôt, notamment en raison de dépenses en recherche et développement en hausse à 14,8 millions d'euros.
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