Investing.com - Les bourses européennes se sont retrouvées majoritairement en berne ce vendredi après-midi, malgré les bonnes nouvelles provenant de l'Allemagne, la prudence restant de mise face aux rumeurs de diminution imminente des injections de liquidités de la banque centrale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,25%, le CAC 40 français frémissant toutefois de 0,05%, et le DAX 30 allemand dérapant de 0,74%.
L'institut Ifo pour la recherche économique a en effet fait savoir que son indice de l'enthousiasme des entreprises de l'Allemagne était remonté ce mois-ci depuis 104,4 vers 105,7, au lieu des 104,5 envisagés.
Le groupe de recherches économiques Gfk avait auparavant montré que son baromètre du moral des particuliers de l'Allemagne avait fait la bonne surprise de remonter en mai, frémissant depuis les 6,2 précédent vers 6,5, alors qu'une stagnation semblait probable.
Mais la circonspection restait à l'ordre du jour au surlendedmain de l'évocation par Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, de la possibilité d'une diminution de ses apports de capitaux.
La finance restait aux abris, la Deutsche Bank allemande sombrant de 2,31%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,56 et 0,39%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 0,37 et 0,56%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit continuant cependant à nager à contre-courant avec des sursauts de 0,86 et 0,24%.
Les laboratoires pharmaceutiques danois Novo Nordisk n'empochaient plus que 0,15% après avoir déclaré que son traitement au liraglutide avait permis à des patients obèses mais non diabétiques de perdre 8% de leur poids, contre seulement 2,6% avec un placebo.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,62%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la plupart de leurs homologues continentaux, après qu'il ait été noté que le nombre des accords de prêts hypothécaires britanniques avait moins augmenté en avril qu'anticipé.
Barclays voyait son avance fondre pour se retrouver dans le rouge de 0,79%, accompagné de Lloyds Banking avec 0,96%, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se situaieent en queue de peloton avec 1,76 et 1,88%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient eux aussi de &,29 et 0,96%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,54%.
La City suivait majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking reculant de 0,08%, la Royal Bank of Scotland de 0,12% et HSBC Holdings de 0,88%, tandis que Barclays défiait la tendance en arrachant 0,35%.
Les perspectives des marchés américains reflétaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,40% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,44%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec leur volume des commandes de biens durables.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,25%, le CAC 40 français frémissant toutefois de 0,05%, et le DAX 30 allemand dérapant de 0,74%.
L'institut Ifo pour la recherche économique a en effet fait savoir que son indice de l'enthousiasme des entreprises de l'Allemagne était remonté ce mois-ci depuis 104,4 vers 105,7, au lieu des 104,5 envisagés.
Le groupe de recherches économiques Gfk avait auparavant montré que son baromètre du moral des particuliers de l'Allemagne avait fait la bonne surprise de remonter en mai, frémissant depuis les 6,2 précédent vers 6,5, alors qu'une stagnation semblait probable.
Mais la circonspection restait à l'ordre du jour au surlendedmain de l'évocation par Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale américaine, de la possibilité d'une diminution de ses apports de capitaux.
La finance restait aux abris, la Deutsche Bank allemande sombrant de 2,31%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,56 et 0,39%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant échapper 0,37 et 0,56%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit continuant cependant à nager à contre-courant avec des sursauts de 0,86 et 0,24%.
Les laboratoires pharmaceutiques danois Novo Nordisk n'empochaient plus que 0,15% après avoir déclaré que son traitement au liraglutide avait permis à des patients obèses mais non diabétiques de perdre 8% de leur poids, contre seulement 2,6% avec un placebo.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,62%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par la plupart de leurs homologues continentaux, après qu'il ait été noté que le nombre des accords de prêts hypothécaires britanniques avait moins augmenté en avril qu'anticipé.
Barclays voyait son avance fondre pour se retrouver dans le rouge de 0,79%, accompagné de Lloyds Banking avec 0,96%, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland se situaieent en queue de peloton avec 1,76 et 1,88%.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient eux aussi de &,29 et 0,96%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,54%.
La City suivait majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking reculant de 0,08%, la Royal Bank of Scotland de 0,12% et HSBC Holdings de 0,88%, tandis que Barclays défiait la tendance en arrachant 0,35%.
Les perspectives des marchés américains reflétaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,40% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,44%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec leur volume des commandes de biens durables.