Investing.com - Le dollar U.S. s'est retrouvé en berne après avoir caracolé face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, le goût pour le risque étant revenu après qu'un haut représentant du Fonds Monétaire International ait annoncé que les pourparlers concernant l'attribution de nouveaux fonds à la Grèce se concluraient dans les jours à venir.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.23% pour grimper à 1.3115.
La monnaie unique a repris des couleurs après que le chef de la délégation du Fonds Monétaire International en mission à Athènes ait assuré à un quotidien grec que les pourparlers concernant le nouveau plan de prêts au pays seraient conclus dans les prochains jours.
Les autorités hellènes avaient laissé entendre en début de semaine que les autrs débats, avec les créanciers privés, étaient très proches d'un consensus, mais l'angoisse que les échanges de dettes ne suffisent pas à réduire le fardeau du surendettement national autant que nécessaire demeurait.
Celui-ci reste indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides de secours et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'il devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.11% pour se hisser à 1.5776.
Une étude britannique avait auparavant indiqué que le secteur manufacturier national avait connu en janvier sa progression la plus rapide en huit mois, la production réalisant son avancée la plus rapide des dix mois écoulés et les nouvelles commandes n'étant pas en reste.
Il a d'autre part subi la pression du yen aux abords d'un creux des trois derniers mois, l'USD/JPY trébuchant de 0.28% pour se retrouver à 76.04, ravivant la crainte d'une intervention des autorités japonaises afin de juguler l'envolée de leur devise.
Il en a été de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.27% pour tomber à 0.9174.
Une rapport officiel avait signalé ce matin que les ventes au détail helvètes avaient moins souffert en décembre qu'il n'avait été craint.
Un autre faisait toutefois savoir que l'activité manufacturière du pays avait subi en janvier un recul inattendu, constituant son quatrième mois négatif d'affilée.
La monnaie des Etats-Unis a également été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.3% pour aller vers 0.9993, l'AUD/USD raflant 0.49% pour monter à 1.0675 et le NZD/USD engrangeant 0.26% pour culminer à 0.8287.
Julia Gilliard, premier ministre australienne, a pour sa part averti les exportateurs lors d'un discours de début de matinée que la devise nationale avait de fortes chances de demeurer forte sur le long terme.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.25% pour se situer à 79.23.
Les Etats-Unis verront leurs experts rendre en fin de journée une étude sur les variations de l'emploi non agricole, et l'institut de gestion des approvisionnements diffusera son rapport sur l'activité manufacturière.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.23% pour grimper à 1.3115.
La monnaie unique a repris des couleurs après que le chef de la délégation du Fonds Monétaire International en mission à Athènes ait assuré à un quotidien grec que les pourparlers concernant le nouveau plan de prêts au pays seraient conclus dans les prochains jours.
Les autorités hellènes avaient laissé entendre en début de semaine que les autrs débats, avec les créanciers privés, étaient très proches d'un consensus, mais l'angoisse que les échanges de dettes ne suffisent pas à réduire le fardeau du surendettement national autant que nécessaire demeurait.
Celui-ci reste indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides de secours et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'il devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.11% pour se hisser à 1.5776.
Une étude britannique avait auparavant indiqué que le secteur manufacturier national avait connu en janvier sa progression la plus rapide en huit mois, la production réalisant son avancée la plus rapide des dix mois écoulés et les nouvelles commandes n'étant pas en reste.
Il a d'autre part subi la pression du yen aux abords d'un creux des trois derniers mois, l'USD/JPY trébuchant de 0.28% pour se retrouver à 76.04, ravivant la crainte d'une intervention des autorités japonaises afin de juguler l'envolée de leur devise.
Il en a été de même avec le franc suisse, l'USD/CHF glissant de 0.27% pour tomber à 0.9174.
Une rapport officiel avait signalé ce matin que les ventes au détail helvètes avaient moins souffert en décembre qu'il n'avait été craint.
Un autre faisait toutefois savoir que l'activité manufacturière du pays avait subi en janvier un recul inattendu, constituant son quatrième mois négatif d'affilée.
La monnaie des Etats-Unis a également été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.3% pour aller vers 0.9993, l'AUD/USD raflant 0.49% pour monter à 1.0675 et le NZD/USD engrangeant 0.26% pour culminer à 0.8287.
Julia Gilliard, premier ministre australienne, a pour sa part averti les exportateurs lors d'un discours de début de matinée que la devise nationale avait de fortes chances de demeurer forte sur le long terme.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.25% pour se situer à 79.23.
Les Etats-Unis verront leurs experts rendre en fin de journée une étude sur les variations de l'emploi non agricole, et l'institut de gestion des approvisionnements diffusera son rapport sur l'activité manufacturière.