Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce mardi, après que le Japon ait revu son estimation de la gravité de sa crise nucléaire au même niveau que celui de la catastrophe de Tchernobyl en 1986, augmentant la demande pour les valeurs refuge.
En première partie de séance européenne, l'euro a à peine fléchi devant lui, l'EUR/USD arrachant 0.01% pour grimper à 1.4434.
Le billet vert a par contre gagné du terrain à la livre sterling, le GBP/USD cédant 0.26% pour se glisser à 1.6302.
Des chiffres des acteurs de la grande distriution avaient auparavant montré que les ventes au détail avaient connu en mars leur pire effondrement en presque 6 ans, tandis que les prix de l'immobilier baissaient eux aussi.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.27% pour se retrouver à 84.36 et l'USD/CHF tombant de 0.46% pour tomber à 0.9022.
L'agence de sûreté atomique et industrielle nippone avait avoué en début de matinée qu'en se basant sur l'accumulation des niveaux des radiations répandues, la gravité de la crise devait être remontée au niveau 7, le plus élevé de l'échelle internationalement adoptée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été inchangée par rapport à sa cousine canadienne, l'USD/CAD restant stable à 0.9565, prenant légèrement l'ascendant sur l'australienne et cédant le pas à la néo-zélandaise, , l'AUD/USD se laissant grignoter 0.04% pour monter à 1.0491 et le NZD/USD engrangeant 0.44% pour culminer à 0.7831.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.03%.
Le gouvernement américain devrait dévoiler son état de la balance du commerce extérieur ainsi que de l'équilibre budgétaire fédéral.
En première partie de séance européenne, l'euro a à peine fléchi devant lui, l'EUR/USD arrachant 0.01% pour grimper à 1.4434.
Le billet vert a par contre gagné du terrain à la livre sterling, le GBP/USD cédant 0.26% pour se glisser à 1.6302.
Des chiffres des acteurs de la grande distriution avaient auparavant montré que les ventes au détail avaient connu en mars leur pire effondrement en presque 6 ans, tandis que les prix de l'immobilier baissaient eux aussi.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.27% pour se retrouver à 84.36 et l'USD/CHF tombant de 0.46% pour tomber à 0.9022.
L'agence de sûreté atomique et industrielle nippone avait avoué en début de matinée qu'en se basant sur l'accumulation des niveaux des radiations répandues, la gravité de la crise devait être remontée au niveau 7, le plus élevé de l'échelle internationalement adoptée.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été inchangée par rapport à sa cousine canadienne, l'USD/CAD restant stable à 0.9565, prenant légèrement l'ascendant sur l'australienne et cédant le pas à la néo-zélandaise, , l'AUD/USD se laissant grignoter 0.04% pour monter à 1.0491 et le NZD/USD engrangeant 0.44% pour culminer à 0.7831.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.03%.
Le gouvernement américain devrait dévoiler son état de la balance du commerce extérieur ainsi que de l'équilibre budgétaire fédéral.