Investing.com - Les bourses européennes étaient en repli généralisé lors des transactions raréfiées de ce lundi après-midi, dans l'ombre persistante des incertitudes concernant les orientations futures de la banque centrale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,26% et le CAC 40 français de 0,21%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0,48%.
La nervosité était palpable après que le rapport sur l'emploi des Etats-Unis publié le 2 août ait mis en évidence un nombre de créations de postes inférieur aux espérances pour le mois passé.
Cette déception a du coup fait revoir à la baisse les probabilités d'un tour de vis imminent de la part de leur banque centrale.
Les observateurs guettent pour demain leurs chiffres des ventes, ainsi que les discours que de hauts représentants de la Réserve Fédérale tiendront en cours de semaine.
La finance se retrouvait unifiée dans l'adversité, la Deutsche Bank allemande trébuchant de 1,04%, les français BNP Paribas et Société Générale faisant de même avec respectivement 0,01 et 0,38%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,72 et 0,71%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,94 et 0,01%.
A Francfort, Bilfinger bondissait de 2,36% après avoir prédit un second semestre "nettement" plus solide, et revendiqué des revenus nets de 47 millions d'euros au second trimestre, conformément aux analyses.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, laissait échapper 0,28%, malgré le soutien d'exploitants en forme.
Les mastodontes miniers Randgold Resources et Polymetal amassaient 2,74 et 2,91%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo n'étant pas en reste avec 7,75 et 3,09%.
La City arborait elle aussi majoritairement un sourire, Lloyds Banking s'élevant de 0,24%, HSBC Holdings de 0,66% et la Royal Bank of Scotland de 2,14%, tandis que Barclays reculait par contre de 0,62%.
L'assureur Catlin restait à l'offensive, raflant 2,91% après que la seconde en ait revu l'appréciation depuis la neutralité vers l'attribution du titre de poids lourd.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elle pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,43%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,54% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,26% et le CAC 40 français de 0,21%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0,48%.
La nervosité était palpable après que le rapport sur l'emploi des Etats-Unis publié le 2 août ait mis en évidence un nombre de créations de postes inférieur aux espérances pour le mois passé.
Cette déception a du coup fait revoir à la baisse les probabilités d'un tour de vis imminent de la part de leur banque centrale.
Les observateurs guettent pour demain leurs chiffres des ventes, ainsi que les discours que de hauts représentants de la Réserve Fédérale tiendront en cours de semaine.
La finance se retrouvait unifiée dans l'adversité, la Deutsche Bank allemande trébuchant de 1,04%, les français BNP Paribas et Société Générale faisant de même avec respectivement 0,01 et 0,38%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,72 et 0,71%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,94 et 0,01%.
A Francfort, Bilfinger bondissait de 2,36% après avoir prédit un second semestre "nettement" plus solide, et revendiqué des revenus nets de 47 millions d'euros au second trimestre, conformément aux analyses.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, laissait échapper 0,28%, malgré le soutien d'exploitants en forme.
Les mastodontes miniers Randgold Resources et Polymetal amassaient 2,74 et 2,91%, leurs rivaux Evraz et Fresnillo n'étant pas en reste avec 7,75 et 3,09%.
La City arborait elle aussi majoritairement un sourire, Lloyds Banking s'élevant de 0,24%, HSBC Holdings de 0,66% et la Royal Bank of Scotland de 2,14%, tandis que Barclays reculait par contre de 0,62%.
L'assureur Catlin restait à l'offensive, raflant 2,91% après que la seconde en ait revu l'appréciation depuis la neutralité vers l'attribution du titre de poids lourd.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elle pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,43%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,54% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,50%.