Investing.com - Les bourses européennes restaient en forme ce lundi après-midi, alors que la nouvelle équipe dirigeante italienne s'apprêtait à dévoiler son plan de bataille économique, sur fond de rumeurs tenaces de baisse des taux régionaux.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,39%, le CAC 40 français de 0,60%, et le DAX 30 allemand de 0,23%.
Les valeurs locales ont retrouvé des couleurs après que l'Italie soit sortie de l'impasse politique découlant des élections sans résultats clairs de février avec l'intronisation d'un nouveau gouvernement.
Fabrizio Saccomanni, nouveau ministre de l'économie de l'Italie, devrait en effet présenter aujourd'hui ses mesures devant le parlement, après avoir déclaré compter diminuer les impôts, mais aussi réduire les dépenses ainsi que les coûts des emprunts.
Le cap que la Banque Centrale Européenne prendra mercredi, une baisse des taux étant attendue suite aux piètres résultats allemands dévoilés la semaine passée, faisait aussi des gorges chaudes.
La finance était encore sur les rangs, la Deutsche Bank allemande empochant 1,42%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,75 et 1,86%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,48 et 1,39%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,36 et 1,84%.
Le premier avait auparavant fait savoir que Javier Marin remplacerait Alfredo Saenz au poste de directeur général.
Mais tout n'était cependant pas rose, le chimiste germanique Bayer voyant 2,51% s'évaporer après avoir fait connaître son intention d'acquérir Conceptus, metteur au point de la méthode de stérilisation Essure, à 31 USD par action.
A Londres, le FTSE 100 a conquis laissé échaper 0,09%, mais bénéficiait toujours d'établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland s'élevait ainsi de 0,05%, et Lloyds Banking de 0,93%, tandis que Barclays et HSBC Holdings décevaient avec des faux pas de 0,21 et 0,27%.
Le gestionnaire de fonds écossais Aberdeen raflait pour sa part 9,03%, prolongeant son ascension après avoir revendiqué des bénéfices avant impôt ajustés de 222,8 millions de GBP pour le premier trimestre, au lieu des 211 millions projetés.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient elles aussi partagées, le mastodonte minier BHP Billiton se repliant de 0,56%, son rival Rio Tinto arrachant 0,19%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata faisant de même, les premier frémissant de 0,17% alors que le second se rétractait de 0,98%.
Parmi les moins bonnes nouvelles, on pouvait déplorer un effondrement de 12,50% pour l'entrepreneur Balfour Beatty, ayant révélé que les profits découlant de ses opérations devraient être inférieurs de 50 millions de GBP aux prédictions précédentes.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,28% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,37%.
Un rapport de la Commission Européenne avait auparavant montré que le moral économique du bloc avait sombré depuis 90,1 vers 88,6 pour avril, reflétant les inquiétudes au sujet du futur de la région.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur le nombre des ventes de logements en cours.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,39%, le CAC 40 français de 0,60%, et le DAX 30 allemand de 0,23%.
Les valeurs locales ont retrouvé des couleurs après que l'Italie soit sortie de l'impasse politique découlant des élections sans résultats clairs de février avec l'intronisation d'un nouveau gouvernement.
Fabrizio Saccomanni, nouveau ministre de l'économie de l'Italie, devrait en effet présenter aujourd'hui ses mesures devant le parlement, après avoir déclaré compter diminuer les impôts, mais aussi réduire les dépenses ainsi que les coûts des emprunts.
Le cap que la Banque Centrale Européenne prendra mercredi, une baisse des taux étant attendue suite aux piètres résultats allemands dévoilés la semaine passée, faisait aussi des gorges chaudes.
La finance était encore sur les rangs, la Deutsche Bank allemande empochant 1,42%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,75 et 1,86%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,48 et 1,39%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,36 et 1,84%.
Le premier avait auparavant fait savoir que Javier Marin remplacerait Alfredo Saenz au poste de directeur général.
Mais tout n'était cependant pas rose, le chimiste germanique Bayer voyant 2,51% s'évaporer après avoir fait connaître son intention d'acquérir Conceptus, metteur au point de la méthode de stérilisation Essure, à 31 USD par action.
A Londres, le FTSE 100 a conquis laissé échaper 0,09%, mais bénéficiait toujours d'établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant majoritairement le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland s'élevait ainsi de 0,05%, et Lloyds Banking de 0,93%, tandis que Barclays et HSBC Holdings décevaient avec des faux pas de 0,21 et 0,27%.
Le gestionnaire de fonds écossais Aberdeen raflait pour sa part 9,03%, prolongeant son ascension après avoir revendiqué des bénéfices avant impôt ajustés de 222,8 millions de GBP pour le premier trimestre, au lieu des 211 millions projetés.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient elles aussi partagées, le mastodonte minier BHP Billiton se repliant de 0,56%, son rival Rio Tinto arrachant 0,19%, les cuivriers Kazakhmys et Xstrata faisant de même, les premier frémissant de 0,17% alors que le second se rétractait de 0,98%.
Parmi les moins bonnes nouvelles, on pouvait déplorer un effondrement de 12,50% pour l'entrepreneur Balfour Beatty, ayant révélé que les profits découlant de ses opérations devraient être inférieurs de 50 millions de GBP aux prédictions précédentes.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,28%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,28% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,37%.
Un rapport de la Commission Européenne avait auparavant montré que le moral économique du bloc avait sombré depuis 90,1 vers 88,6 pour avril, reflétant les inquiétudes au sujet du futur de la région.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté fournir dans l'après-midi les informations de leurs spécialistes de l'immobilier sur le nombre des ventes de logements en cours.