Investing.com - L'euro a à peine pris l'avantage face au dollar U.S. ce mari matin, et cette ascension semlait devoir rester limitée à la veille de la publication du compte-rendu détaillé du plus récent conseil d'orientation de la Réserve Fédérale et de l'audience de son président, Ben Bernanke.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,2904 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 16 mai, puis s'est stabilisée vers 1,2887, grignotant 0,03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2818, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,2928, son plafond du 16 mai.
La prudence demeurait en effet de mise à l'approche du témoignage du chef de la banque centrale américaine devant le comité économique parlementaire, et de la divulgation du procès-verbal de sa dernière prise de cap.
Les opérateurs sont en effet suspendus au moindre signe pouvant laisser envisager une diminution de son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année, la solidité de la relance semblant avoir été renforcée par les récents résultats économiques positifs.
La monnaie unique a par ailleurs grignoté quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0,07% pour se hisser à 0,8450, et nettement plus par rapport au yen, l'EUR/JPY grimpant de 0,32% pour culminer à 132,18.
La devise nippone a cédé hier du terrain à ses homologues européen et américain après que des hauts représentants du gouvernement aient déclaré que les dirigeants demeuraient prêts à devantage d'affaiblissements de sa part, après que le ministre des finances ait déclaré dimanche qu'ils étaient nombreux à estimer que sa survalorisation était désormais proche d'être corrigée.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1,2904 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 16 mai, puis s'est stabilisée vers 1,2887, grignotant 0,03%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,2818, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,2928, son plafond du 16 mai.
La prudence demeurait en effet de mise à l'approche du témoignage du chef de la banque centrale américaine devant le comité économique parlementaire, et de la divulgation du procès-verbal de sa dernière prise de cap.
Les opérateurs sont en effet suspendus au moindre signe pouvant laisser envisager une diminution de son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année, la solidité de la relance semblant avoir été renforcée par les récents résultats économiques positifs.
La monnaie unique a par ailleurs grignoté quelques centimètres de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0,07% pour se hisser à 0,8450, et nettement plus par rapport au yen, l'EUR/JPY grimpant de 0,32% pour culminer à 132,18.
La devise nippone a cédé hier du terrain à ses homologues européen et américain après que des hauts représentants du gouvernement aient déclaré que les dirigeants demeuraient prêts à devantage d'affaiblissements de sa part, après que le ministre des finances ait déclaré dimanche qu'ils étaient nombreux à estimer que sa survalorisation était désormais proche d'être corrigée.