Investing.com - La livre sterling est tombée des une ornière des huit derniers mois face au dollar U.S. ce mercredi, tirée vers le bas par la crainte de l'éventuelle mise en place par la Banque d'Angleterre de nouveaux assouplissements monétaires afin de soutenir une relance chancelante.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5707 en ouverture de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 12 janvier, puis s'est stabilisée vers 1.574, perdant 0.23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5582, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.5869, son plafond de mardi.
Les chiffres de l'inflation révélés hier montrant une légère hausse de celle-ci n'ont pas suffi à apaiser les rumeurs selon lesquelles la banque centrale britannique pourrait avoir recours à de nouvelles mesures stimulatrices afin d'encourager la croissance, après qu'une série de résultats décevants ait fait résonner l'angoisse d'une fragilisation de l'économie.
Le bureau national des statistiques du Royaume-Uni avait en effet indiqué que l'inflation annuelle des prix au détail nationale s'établissant comme prévu à 4.5% ajustés saisonnièrement pour le mois dernier, contre 4.4% lors du précédent.
Une autre étude avait par ailleurs fait savoir que le déficit de la balance commerciale du pays était resté stable à 8.9 milliards de GBP en juillet, contredisant l'espoir d'une plus forte demande extérieure grâce à l'affaiblissement de la monnaie nationale.
Adam Posen, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre, a pour sa part estimé que cette dernière devait encourager l'économie dès maintement à l'aide d'injections de capitaux et coopérer avec le gouvernement afin de stimuler les prêts aux entreprises afin de renforcer la croissance.
La devise de la Grande-Bretagne a également perdu quelques pouces de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.09% pour descendre à 0.8675.
Le gouvernement de la Grande-Bretagne fera connaître aujourd'hui l'évolution du nombre de ses demandeurs d'emploi, ainsi que des informations sur les revenus moyens et le taux de chômage, et les Etats-Unis l'imiteront avec leur inflation des prix à la production et le volume de leurs ventes au détail.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5707 en ouverture de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 12 janvier, puis s'est stabilisée vers 1.574, perdant 0.23%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5582, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.5869, son plafond de mardi.
Les chiffres de l'inflation révélés hier montrant une légère hausse de celle-ci n'ont pas suffi à apaiser les rumeurs selon lesquelles la banque centrale britannique pourrait avoir recours à de nouvelles mesures stimulatrices afin d'encourager la croissance, après qu'une série de résultats décevants ait fait résonner l'angoisse d'une fragilisation de l'économie.
Le bureau national des statistiques du Royaume-Uni avait en effet indiqué que l'inflation annuelle des prix au détail nationale s'établissant comme prévu à 4.5% ajustés saisonnièrement pour le mois dernier, contre 4.4% lors du précédent.
Une autre étude avait par ailleurs fait savoir que le déficit de la balance commerciale du pays était resté stable à 8.9 milliards de GBP en juillet, contredisant l'espoir d'une plus forte demande extérieure grâce à l'affaiblissement de la monnaie nationale.
Adam Posen, membre du conseil directeur de la Banque d'Angleterre, a pour sa part estimé que cette dernière devait encourager l'économie dès maintement à l'aide d'injections de capitaux et coopérer avec le gouvernement afin de stimuler les prêts aux entreprises afin de renforcer la croissance.
La devise de la Grande-Bretagne a également perdu quelques pouces de terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0.09% pour descendre à 0.8675.
Le gouvernement de la Grande-Bretagne fera connaître aujourd'hui l'évolution du nombre de ses demandeurs d'emploi, ainsi que des informations sur les revenus moyens et le taux de chômage, et les Etats-Unis l'imiteront avec leur inflation des prix à la production et le volume de leurs ventes au détail.