Investing.com - Les options sur le brut étaient en repli vers un creux des deux dernières semaines ce vendredi, la déception entraînée par la produit intérieur brut des Etats-Unis et les problèmes de dette souveraine du pays et de la zone euro attisant la crainte d'un fléchissement de la demande à court terme du premier consommateur mondial.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 95.97 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, plongeant de 3.65% sur la semaine, mettant fin à une série de quatre semaines de progression.
Ils avaient auparavant touché le fond à 94.97 USD, leur cours le plus bas depuis le 14 juillet.
Le département d'état au commerce a en effet annoncé vendredi que l'économie américaine avait progressé de seulement 1.3% au premier trimestre, soit nettement mins que les 1.7% espérés.
L'estimation à 1.9% pour le précédent se trouvait fortement rabaissée à 0.4%, laissant à craindre le spectre d'une nouvelle récession pour le pays, faisant empirer des perspectives de consommation déjà peu réjouissantes.
A seulement quelques jours de la date butoir pour remonter la limite d'endettement américaine du 2 août, les chefs des goupes parlementaires et la Maison Blanche n'avaient toujours pas dégagé de consensus permettant d'augmenter les 14.3 billions du plafond d'endettement maximal du pays.
Les agences Moody's, Standard & Poor's et Fitch ont toutes trois annoncé qu'elles dégraderaient la notation monétaire actuellement maximale du pays au cas où l'échec de la remontée de la limite d'endettement entraînerait un défaut de paiement.
La banque Barclays avait rappelé vendredi dans un article que la dette américaine restait une source d'inquiétude constante, et que la possibilité d'un rabaissement de la notation monétaire avait des chances de "maintenir une pression baissière sur les prix" à court terme.
Les cours du pétrole ont dégringolé de presque 2% mercredi après que l'agence d'information sur l'énergie des Etats-Unis ait fait savoir que les réserves de brut avaient augmenté de 2.3 millions de barils au cours de la semaine passée, dépassant largement les 1.5 millions prévus.
Celles d'essence ont quand à elles engrangé 1 million de barils, dépassant largement les 400 000 prévus.
Les négociants en produits énergétiques les observent toujours de près afin de juger de l'importance de la demande américaine, le pays ayant entamé avec les départs en vacances sa saison de plus forte demande en essence.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont glissé de 1.45% pour plonger à 116.78 USD du baril dans le même temps, soit 20.81 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 95.97 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, plongeant de 3.65% sur la semaine, mettant fin à une série de quatre semaines de progression.
Ils avaient auparavant touché le fond à 94.97 USD, leur cours le plus bas depuis le 14 juillet.
Le département d'état au commerce a en effet annoncé vendredi que l'économie américaine avait progressé de seulement 1.3% au premier trimestre, soit nettement mins que les 1.7% espérés.
L'estimation à 1.9% pour le précédent se trouvait fortement rabaissée à 0.4%, laissant à craindre le spectre d'une nouvelle récession pour le pays, faisant empirer des perspectives de consommation déjà peu réjouissantes.
A seulement quelques jours de la date butoir pour remonter la limite d'endettement américaine du 2 août, les chefs des goupes parlementaires et la Maison Blanche n'avaient toujours pas dégagé de consensus permettant d'augmenter les 14.3 billions du plafond d'endettement maximal du pays.
Les agences Moody's, Standard & Poor's et Fitch ont toutes trois annoncé qu'elles dégraderaient la notation monétaire actuellement maximale du pays au cas où l'échec de la remontée de la limite d'endettement entraînerait un défaut de paiement.
La banque Barclays avait rappelé vendredi dans un article que la dette américaine restait une source d'inquiétude constante, et que la possibilité d'un rabaissement de la notation monétaire avait des chances de "maintenir une pression baissière sur les prix" à court terme.
Les cours du pétrole ont dégringolé de presque 2% mercredi après que l'agence d'information sur l'énergie des Etats-Unis ait fait savoir que les réserves de brut avaient augmenté de 2.3 millions de barils au cours de la semaine passée, dépassant largement les 1.5 millions prévus.
Celles d'essence ont quand à elles engrangé 1 million de barils, dépassant largement les 400 000 prévus.
Les négociants en produits énergétiques les observent toujours de près afin de juger de l'importance de la demande américaine, le pays ayant entamé avec les départs en vacances sa saison de plus forte demande en essence.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour septembre ont glissé de 1.45% pour plonger à 116.78 USD du baril dans le même temps, soit 20.81 USD de mieux que leurs homologues américaines.