Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, après la déception de la réunion franco-allemande d'hier, et que la Banque Nationale Suisse ait annoncé de nouvelles mesures destinées à juguler l'ascension de sa monnaie, sans toutefois aller jusqu'à en fixer le taux de change.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.1% pour tomber à 1.4392.
La monnaie unique s'est retrouvée sous pression, la réunion d'hier entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, n'ayant pas réussi à apaiser les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro.
Ces derniers ont proposé la création d'un nouveau conseil destiné à améliorer la gouvernance de la zone euro, et comptent introduire une taxe sur les transactions financières en septembre.
L'augmentation du volume du fonds de secours n'a toutefois pas été décidée, alors que bien des observateurs l'estiment insuffisant au cas où les problèmes de surendettement devaient s'étendre en Italie, en Espagne ou en France.
L'idée d'émettre des obligations européennes a également été rejetée, invoquant le fait que ces dernières n'apporteraient pas de solution durable au problème de la dette souveraine, entraînant la déception des acteurs des marchés qui en attendaient la création.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.43% pour chuter à 1.6384.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a en effet montré ce matin que le nombre des personnes ayant fait une demande d'allocations chômage avait connu en juillet une hausse de 37 100 inscrits, soit nettement plus que les 20 000 déjà craints.
Il a toutefois subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.27% pour descendre à 76.6 et l'USD/CHF s'effondrant de 1.5% pour sombrer à 0.784.
La banque centrale helvète avait auparavant dévoilé en quoi consisterait son programme d'affaiblissement de sa devise, notamment l'augmentation du volume des liquidités disponibles sur les marchés monétaires ainsi que des transactions sur le forex pour en freiner la récente flambée.
Elle n'a cependant pas été jusqu'à lier le swissy avec l'euro ou intervenir directement sur le marché des changes, malgré les rumeurs à ce sujet.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise sensibles au goût pour le risque, l'USD/CAD grignotant 0.04% pour monter à 0.9827, l'AUD/USD trébuchant de 0.05% pour se retrouver à 1.0479 et le NZD/USD se laissant arracher 0.28% pour toucher le fond à 0.8338.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a arraché 0.05% pour se hisser à 74.08.
Les autorités des Etats-Unis devraient faire connaître en cours d'après-midi leur inflation des prix à la production, ainsi que le volume des réserves de pétrole brut.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.1% pour tomber à 1.4392.
La monnaie unique s'est retrouvée sous pression, la réunion d'hier entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français, n'ayant pas réussi à apaiser les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro.
Ces derniers ont proposé la création d'un nouveau conseil destiné à améliorer la gouvernance de la zone euro, et comptent introduire une taxe sur les transactions financières en septembre.
L'augmentation du volume du fonds de secours n'a toutefois pas été décidée, alors que bien des observateurs l'estiment insuffisant au cas où les problèmes de surendettement devaient s'étendre en Italie, en Espagne ou en France.
L'idée d'émettre des obligations européennes a également été rejetée, invoquant le fait que ces dernières n'apporteraient pas de solution durable au problème de la dette souveraine, entraînant la déception des acteurs des marchés qui en attendaient la création.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.43% pour chuter à 1.6384.
Dans son rapport, le bureau national des statistiques du Royaume-Uni a en effet montré ce matin que le nombre des personnes ayant fait une demande d'allocations chômage avait connu en juillet une hausse de 37 100 inscrits, soit nettement plus que les 20 000 déjà craints.
Il a toutefois subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY glissant de 0.27% pour descendre à 76.6 et l'USD/CHF s'effondrant de 1.5% pour sombrer à 0.784.
La banque centrale helvète avait auparavant dévoilé en quoi consisterait son programme d'affaiblissement de sa devise, notamment l'augmentation du volume des liquidités disponibles sur les marchés monétaires ainsi que des transactions sur le forex pour en freiner la récente flambée.
Elle n'a cependant pas été jusqu'à lier le swissy avec l'euro ou intervenir directement sur le marché des changes, malgré les rumeurs à ce sujet.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise sensibles au goût pour le risque, l'USD/CAD grignotant 0.04% pour monter à 0.9827, l'AUD/USD trébuchant de 0.05% pour se retrouver à 1.0479 et le NZD/USD se laissant arracher 0.28% pour toucher le fond à 0.8338.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a arraché 0.05% pour se hisser à 74.08.
Les autorités des Etats-Unis devraient faire connaître en cours d'après-midi leur inflation des prix à la production, ainsi que le volume des réserves de pétrole brut.