Investing.com - Le dollar U.S. retait largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, la demande pour les investissements plus audacieux ayant été ragaillardie par un baromètre de la confiance dans les affaires allemandes supérieur aux espérances, dans l'attente des chiffres du chômage des Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.3% pour grimper à 1.3289.
La monnaie unique a en effet repris du poil de la bête après que l'institut Ifo pour la recherche économique ait annoncé que son indice du climat dans les affaires allemandes s'était élevé à 109.6 avec ajustement saisonnier pour le mois, contre 108.3 pour le précédent, et dépassant les 108.8 espérés.
Ce résultat laissait espérer que la plus grosse économie de la zone euro encaissait l'impact de la crise de la dette régionale, et qu'elle pourrait même éviter de tomber en récession.
Mais l'enthousiasme s'est apaisé après que les prévisions de la Commission Européenne aient montré que l'économie de la zone euro subirait, comme prévu, un recul de 0.3% au premier trimestre 2012, après avoir déjà subi un recul de la même importance au dernier trimestre 2011, deux trimestres négatifs d'affilée constituant une récession.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.32% pour se hisser à 1.5718.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des partisans après que la confédération des entreprises britanniques CBI ait déclaré pour sa part que les commandes auprès des usines avaient rebondi pour se hisser en février à leur plus haut niveau en six mois, leur indice prenant 13 points pour se redresser à -3, contre -16 précédemment.
La Commission Européenne a par ailleurs revu à la hausse ses prévisions de croissance pour le Royaume-Uni, passant ainsi de 1.2 à 1.7% pour 2012.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.14% pour se retrouver à 80.17 et l'USD/CHF glissant de 0.42% pour tomber à 0.9063.
Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, avait déclaré en début de matinée souhaiter avoir des entretiens personnels avec le gouverneur de la Banque du Japon plus souvent, et renforcer la collaboration avec cette dernière.
Ces propos survenaient alors que celle-ci avait décidé la semaine dernière d'augmenter la taille de son programme d'achats d'actifs jusqu'à 30 billions de JPY, faisant largement plonger la monnaie du pays.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.26% pour aller vers 0.9971, l'AUD/USD raflant 0.52% pour monter à 1.0691 et le NZD/USD engrangeant 0.49% pour culminer à 0.8331.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.33% pour se situer à 79.05.
Les autorités des Etats-Unis devaient rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.3% pour grimper à 1.3289.
La monnaie unique a en effet repris du poil de la bête après que l'institut Ifo pour la recherche économique ait annoncé que son indice du climat dans les affaires allemandes s'était élevé à 109.6 avec ajustement saisonnier pour le mois, contre 108.3 pour le précédent, et dépassant les 108.8 espérés.
Ce résultat laissait espérer que la plus grosse économie de la zone euro encaissait l'impact de la crise de la dette régionale, et qu'elle pourrait même éviter de tomber en récession.
Mais l'enthousiasme s'est apaisé après que les prévisions de la Commission Européenne aient montré que l'économie de la zone euro subirait, comme prévu, un recul de 0.3% au premier trimestre 2012, après avoir déjà subi un recul de la même importance au dernier trimestre 2011, deux trimestres négatifs d'affilée constituant une récession.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.32% pour se hisser à 1.5718.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé des partisans après que la confédération des entreprises britanniques CBI ait déclaré pour sa part que les commandes auprès des usines avaient rebondi pour se hisser en février à leur plus haut niveau en six mois, leur indice prenant 13 points pour se redresser à -3, contre -16 précédemment.
La Commission Européenne a par ailleurs revu à la hausse ses prévisions de croissance pour le Royaume-Uni, passant ainsi de 1.2 à 1.7% pour 2012.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.14% pour se retrouver à 80.17 et l'USD/CHF glissant de 0.42% pour tomber à 0.9063.
Yoshihiko Noda, premier ministre nippon, avait déclaré en début de matinée souhaiter avoir des entretiens personnels avec le gouverneur de la Banque du Japon plus souvent, et renforcer la collaboration avec cette dernière.
Ces propos survenaient alors que celle-ci avait décidé la semaine dernière d'augmenter la taille de son programme d'achats d'actifs jusqu'à 30 billions de JPY, faisant largement plonger la monnaie du pays.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.26% pour aller vers 0.9971, l'AUD/USD raflant 0.52% pour monter à 1.0691 et le NZD/USD engrangeant 0.49% pour culminer à 0.8331.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.33% pour se situer à 79.05.
Les autorités des Etats-Unis devaient rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.