Investing.com - L'euro s'est a établi un nouveau plancher journalier face au dollar U.S. ce lundi après-midi, après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait averti de l'économie de la zone euro restait fragilisée et que les perspectives économiques étaient encore à la baisse.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3322 en première partie de séance américaine, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.334, trébuchant de 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3263, son plancher du 23 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.3392, son plafond de vendredi.
Le chef de l'autorité monétaire européenne a cependant précisé que la région avait "entamé 2013 dans un environnement plus stable que les années précédentes", tout en avertissant que l'économie était encore affaiblie après trois trimestres de contraction, et ne reprendrait des forces que lentement en cours d'année.
Ces commentaires étaient issus de son témoignage devant le comité aux affaires économiques et monétaires du parlement européen.
Il a ajouté que le taux de change de la monnaie unique n'était pas l'objet de manipulations, mais qu'il demeurait important pour la croissance et la stabilité des prix.
Ces propos survenaient après que des chiffres officiels aient montré la semaine passée que la récession du bloc euro s'était aggravée au quatrième trimestre, alimentant les rumeurs d'une diminution prochaine des taux de la Banque Centrale Européenne.
Le volume de son économie a ainsi diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés.
Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de BCE, avait pour sa part estimé ce matin qu'elle devrait toucher le fond ce trimestre, et entamer ensuite une reprise à pas comptés.
La devise européenne a par ailleurs grignoté quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0.12% pour se hisser à 0.8621 et contre le yen, l'EUR/JPY grimpant de 0.36% pour s'établir à 125.63.
Ce dernier avait flanché par rapport à ses homologues d'Europe et des Etats-Unis après que le groupe des 20 pays les plus développés ait évité d'incriminer nommément le Japon malgré ses manoeuvres ayant mené à un affaiblissement de sa monnaie.
Les transactions semblaient devoir rester éparses aujourd'hui en raison de la clôture des places américaines pour cause de fête du président.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3322 en première partie de séance américaine, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.334, trébuchant de 0.16%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3263, son plancher du 23 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.3392, son plafond de vendredi.
Le chef de l'autorité monétaire européenne a cependant précisé que la région avait "entamé 2013 dans un environnement plus stable que les années précédentes", tout en avertissant que l'économie était encore affaiblie après trois trimestres de contraction, et ne reprendrait des forces que lentement en cours d'année.
Ces commentaires étaient issus de son témoignage devant le comité aux affaires économiques et monétaires du parlement européen.
Il a ajouté que le taux de change de la monnaie unique n'était pas l'objet de manipulations, mais qu'il demeurait important pour la croissance et la stabilité des prix.
Ces propos survenaient après que des chiffres officiels aient montré la semaine passée que la récession du bloc euro s'était aggravée au quatrième trimestre, alimentant les rumeurs d'une diminution prochaine des taux de la Banque Centrale Européenne.
Le volume de son économie a ainsi diminué de 0.6% au long des trois derniers mois de l'année, au lieu des 0.4% envisagés.
Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de BCE, avait pour sa part estimé ce matin qu'elle devrait toucher le fond ce trimestre, et entamer ensuite une reprise à pas comptés.
La devise européenne a par ailleurs grignoté quelques pouces de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP arrachant 0.12% pour se hisser à 0.8621 et contre le yen, l'EUR/JPY grimpant de 0.36% pour s'établir à 125.63.
Ce dernier avait flanché par rapport à ses homologues d'Europe et des Etats-Unis après que le groupe des 20 pays les plus développés ait évité d'incriminer nommément le Japon malgré ses manoeuvres ayant mené à un affaiblissement de sa monnaie.
Les transactions semblaient devoir rester éparses aujourd'hui en raison de la clôture des places américaines pour cause de fête du président.