Investing.com - Le dollar U.S. a vu s'inverser son ascension de ce matin face la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi après des commantaires favorables aux taux faibles émis par Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, alors que l'euro se trouvait encouragé par un espoir d'accord concernant un rempart de protection contre le surendettement.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi vers un creux des trois dernières semaines devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour monter à 1.3317.
Le billet vert s'est en effet retrouvé sur la sellette après que Ben Bernanke, gouverneur de la Fed, ait déclaré lors d'un discours que de nouveaux assouplissements monétaires seraient nécessaires afin d'apporter des évolutions profondes au marché de l'emploi américain, qu'il a estimé être encore "loin de son niveau normal" malgré de récentes améliorations.
La monnaie unique a repris des couleurs après que les médias allemands aient affirmé qu'Angela Merkel, la chancelière allemande et Wolfgang Schaeuble, son ministre des finances, mettraient fin à leur résistance contre une initiative de fusion des deux bouées de sauvetage de la région afin d'utiliser leurs 700 milliards d'euros combinés pour lutter contre la crise de la dette souveraine.
Elle avait régressé jusqu'à son plus bas niveau journalier après que Mario Monti, premier ministre italien, ait pointé du doigt en fin de semaine le risque d'une résurgence du problème du surendettement européen provenant de l'Espagne.
L'angoisse liée au pays a ainsi éclipsé l'étude montrant une augmentation de la confiance dans les affaires allemandes pour mars.
L'institut Ifo pour la recherche économique avait annoncé ce matin que son indice de cette dernière était monté de 109.6 à 109.8, au lieu des 109.7 déjà espérés.
L'étalon américain a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0.5% pour s'élever à 1.5948.
Le yen a aussi subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grimpant de 0.38% pour se hisser à 82.66 et l'USD/CHF laissant échapper 0.31% pour toucher le fond à 0.905.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD glissant de 0.49% pour tomber à 0.9928, l'AUD/USD engrangeant 0.61% pour se retrouver à 1.053 et le NZD/USD arrachant 0.56% pour culminer à 0.8226.
Une étude officielle avait fait savoir en début de matinée que la Nouvelle-Zélande avait enregistré un surplus du commerce extérieur de 161 millions de NZD pour février, contre un déficit de 159 millions pour le mois précédent.
Les experts ne pensaient pourtant pas voir le solde positif dépasser 154 millions de NZD pour le mois dernier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.3% pour se situer à 79.28.
Les experts en immobilier américains communiqueront dans l'après-midi leur volume des ventes de logements en cours, alors Mario Draghi, chef du conseil de la BCE, devrait quand à lui prendre la parole.
En seconde partie de séance européenne, il a fléchi vers un creux des trois dernières semaines devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.35% pour monter à 1.3317.
Le billet vert s'est en effet retrouvé sur la sellette après que Ben Bernanke, gouverneur de la Fed, ait déclaré lors d'un discours que de nouveaux assouplissements monétaires seraient nécessaires afin d'apporter des évolutions profondes au marché de l'emploi américain, qu'il a estimé être encore "loin de son niveau normal" malgré de récentes améliorations.
La monnaie unique a repris des couleurs après que les médias allemands aient affirmé qu'Angela Merkel, la chancelière allemande et Wolfgang Schaeuble, son ministre des finances, mettraient fin à leur résistance contre une initiative de fusion des deux bouées de sauvetage de la région afin d'utiliser leurs 700 milliards d'euros combinés pour lutter contre la crise de la dette souveraine.
Elle avait régressé jusqu'à son plus bas niveau journalier après que Mario Monti, premier ministre italien, ait pointé du doigt en fin de semaine le risque d'une résurgence du problème du surendettement européen provenant de l'Espagne.
L'angoisse liée au pays a ainsi éclipsé l'étude montrant une augmentation de la confiance dans les affaires allemandes pour mars.
L'institut Ifo pour la recherche économique avait annoncé ce matin que son indice de cette dernière était monté de 109.6 à 109.8, au lieu des 109.7 déjà espérés.
L'étalon américain a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0.5% pour s'élever à 1.5948.
Le yen a aussi subi sa pression, mais pas le franc suisse, l'USD/JPY grimpant de 0.38% pour se hisser à 82.66 et l'USD/CHF laissant échapper 0.31% pour toucher le fond à 0.905.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD glissant de 0.49% pour tomber à 0.9928, l'AUD/USD engrangeant 0.61% pour se retrouver à 1.053 et le NZD/USD arrachant 0.56% pour culminer à 0.8226.
Une étude officielle avait fait savoir en début de matinée que la Nouvelle-Zélande avait enregistré un surplus du commerce extérieur de 161 millions de NZD pour février, contre un déficit de 159 millions pour le mois précédent.
Les experts ne pensaient pourtant pas voir le solde positif dépasser 154 millions de NZD pour le mois dernier.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.3% pour se situer à 79.28.
Les experts en immobilier américains communiqueront dans l'après-midi leur volume des ventes de logements en cours, alors Mario Draghi, chef du conseil de la BCE, devrait quand à lui prendre la parole.