Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, alors que l'attente prudente d'un plan destiné à résoudre la crise de la dette souveraine de la zone euro encourageait la demande pour les investissements les plus risqués.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.46% pour grimper à 1.3817.
La monnaie unique a repris des couleurs après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait reconnu que le sommet européen du 23 octobre serait "une étape importante" dans la résolution du problème du surendettement régional.
L'agence Moody's avait quand à elle résolu hier soir de dégrader la notation monétaire de l'Espagne de deux crans, passant de A1 à Aa2.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.1% pour se hisser à 1.5729.
Le compte-rendu de la réunion d'orientation de la politique monétaire de la Banque d'Angleterre d'octobre avait indiqué en début de matinée que ses décideurs estimaient que le taux de croissance mondial avait faibli et que la crise financière de la zone euro continuait à menacer l'économie britannique.
Il a d'autre part subi la pression du yen, mais pas celle du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.02% pour se retrouver à 76.8 et l'USD/CHF arrachant 0.22% pour se hisser à 0.9006.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.21% pour aller vers 1.0119, l'AUD/USD raflant 0.42% pour monter à 1.0307 et le NZD/USD engrangeant 0.38% pour culminer à 0.7988.
Le Melbourne Institute australien a pour sa part annoncé que son indice prévisionnel avait gagné 8% en août, contre 0.6% aprèss révision à la hausse pour le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.25% pour se situer à 77.18.
Les Etats-Unis devraient quand à eux dévoiler dans la journée leurs rapports gouvernementaux portant notament sur le nombre des permis de construire accordés et l'évolution des prix à au détail constatée par les autorités.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.46% pour grimper à 1.3817.
La monnaie unique a repris des couleurs après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait reconnu que le sommet européen du 23 octobre serait "une étape importante" dans la résolution du problème du surendettement régional.
L'agence Moody's avait quand à elle résolu hier soir de dégrader la notation monétaire de l'Espagne de deux crans, passant de A1 à Aa2.
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.1% pour se hisser à 1.5729.
Le compte-rendu de la réunion d'orientation de la politique monétaire de la Banque d'Angleterre d'octobre avait indiqué en début de matinée que ses décideurs estimaient que le taux de croissance mondial avait faibli et que la crise financière de la zone euro continuait à menacer l'économie britannique.
Il a d'autre part subi la pression du yen, mais pas celle du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.02% pour se retrouver à 76.8 et l'USD/CHF arrachant 0.22% pour se hisser à 0.9006.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.21% pour aller vers 1.0119, l'AUD/USD raflant 0.42% pour monter à 1.0307 et le NZD/USD engrangeant 0.38% pour culminer à 0.7988.
Le Melbourne Institute australien a pour sa part annoncé que son indice prévisionnel avait gagné 8% en août, contre 0.6% aprèss révision à la hausse pour le mois précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.25% pour se situer à 77.18.
Les Etats-Unis devraient quand à eux dévoiler dans la journée leurs rapports gouvernementaux portant notament sur le nombre des permis de construire accordés et l'évolution des prix à au détail constatée par les autorités.