Investing.com - L'euro était en berne face au dollar U.S. ce lundi matin, les incertitudes dans la position de l'Espagne concernant une éventuelle demande d'aide en bonne et dûe forme auprès de ses partenaires du bloc où il a cours persistant à nuire à sa popularité.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2891 en début de séance européenne, son cours le plus élevé depuis jeudi, puis s'est stabilisée vers 1.2935, laissant échapper 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2824, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.299, son plafond de vendredi.
La monnaie unique a en effet reculé suite à la déception ayant suivi l'absence de recours de Madrid aux aides financières en fin de semaine, une possibilité semblant désormais fortement improbable avant les élections régionales du 21 octobre.
Dans le reste de la zone, le premier ministre grec Antonis Samaras a déclaré hier que son pays se trouvait face à un "dernier obstacle" avant la reprise et exprimé sa confiance quand à la possibilité de trouver un accord avec les bailleurs de fonds internationaux avant le sommet de l'Union Européenne ayant lieu dans trois jours.
Le moral a d'autre part repris des couleurs après que des chiffres officiels des derniers jours aient montré que l'excédent de la balance commerciale de la Chine avait augmenté en septembre grâce au renforcement de la demande à l'exportation, apaisant du même coup l'angoisse d'un atterrissage en catastrophe de la seconde économie mondiale.
La devise européenne a par ailleurs gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling et le yen, l'EUR/GBP arrachant 0.04% pour se hisser à 0.8062 et l'EUR/JPY avançant de 0.11% pour grimper à 101.71.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté en fin de journée le volume de leurs ventes au détail, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale, ainsi que des informations concernant l'état officiel des réserves des entreprises.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.2891 en début de séance européenne, son cours le plus élevé depuis jeudi, puis s'est stabilisée vers 1.2935, laissant échapper 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2824, son plancher déjà évoqué, et de rencontrer de la résistance à 1.299, son plafond de vendredi.
La monnaie unique a en effet reculé suite à la déception ayant suivi l'absence de recours de Madrid aux aides financières en fin de semaine, une possibilité semblant désormais fortement improbable avant les élections régionales du 21 octobre.
Dans le reste de la zone, le premier ministre grec Antonis Samaras a déclaré hier que son pays se trouvait face à un "dernier obstacle" avant la reprise et exprimé sa confiance quand à la possibilité de trouver un accord avec les bailleurs de fonds internationaux avant le sommet de l'Union Européenne ayant lieu dans trois jours.
Le moral a d'autre part repris des couleurs après que des chiffres officiels des derniers jours aient montré que l'excédent de la balance commerciale de la Chine avait augmenté en septembre grâce au renforcement de la demande à l'exportation, apaisant du même coup l'angoisse d'un atterrissage en catastrophe de la seconde économie mondiale.
La devise européenne a par ailleurs gagné quelques pouces de terrain sur la livre sterling et le yen, l'EUR/GBP arrachant 0.04% pour se hisser à 0.8062 et l'EUR/JPY avançant de 0.11% pour grimper à 101.71.
Les Etats-Unis divulgueront de leur côté en fin de journée le volume de leurs ventes au détail, qui représentent la majeure partie de l'activité économique totale, ainsi que des informations concernant l'état officiel des réserves des entreprises.