Investing.com - L'euro a légèrement progressé face au dollar U.S. ce jeudi, après que la Réserve Fédérale ait repoussé l'hypothèse d'une hausse des taux d'intérêt jusqu'à la fin 2014 avec un communiqué sur les taux nettement plus favorable à leur maintien à leurs planchers actuels que prévu.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3134 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 21 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.3112, grignotant 0.05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2952, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 1.3197, son plafond du 21 décembre.
En conclusion de ses deux jours de réunion d'orientation de la politique monéétaire s'étant achevés mercredi, la banque centrale américaine a donc affirmé que la situation économique "imposera des taux exceptionnellement bas pour les fonds fédéraux, au moins jusqu'à fin 2014", alors qu'elle s'était déjà engagée à les maintenir aux abords de zéro jusqu'à mi-2013.
Elle a également revu à la baisse ses prévisions de croissance pour cette année pour se situer entre 2.2 et 2.7%, contre 2.5 à 2.9% envisagés en novembre.
Ben Bernanke, son président, a ajouté qu'il "y a des arguments justifiant davantage d'interventionnisme", laissant entendre qu'uns troisième série d'assouplisseents quantitatifs n'était pas à exclure.
En zone euro, les négociations concernant les échanges de dettes entre la Grèce et ses créanciers devaient reprendre à Athènes en cours de journée.
Une étude a également indiqué aujourd'hui que le moral des consommateurs allemands avait connu une amélioration en janvier.
L'indice Gfk de leur humeur s'est en effet élevé à 5.9 pour ce mois-ci, contre 5.7 revus à la hausse pour décembre, dépassant ainsi légèrement les 5.6 attendus.
La monnaie unique n'a presque gagné de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.01% pour se hisser à 0.8373.
Les Etats-Unis fourniront aujourd'hui leurs résultats officiels concernant les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les commandes de biens durables.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3134 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé depuis le 21 décembre, puis s'est stabilisée vers 1.3112, grignotant 0.05%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.2952, son plancher de mardi, et de rencontrer de la résistance à 1.3197, son plafond du 21 décembre.
En conclusion de ses deux jours de réunion d'orientation de la politique monéétaire s'étant achevés mercredi, la banque centrale américaine a donc affirmé que la situation économique "imposera des taux exceptionnellement bas pour les fonds fédéraux, au moins jusqu'à fin 2014", alors qu'elle s'était déjà engagée à les maintenir aux abords de zéro jusqu'à mi-2013.
Elle a également revu à la baisse ses prévisions de croissance pour cette année pour se situer entre 2.2 et 2.7%, contre 2.5 à 2.9% envisagés en novembre.
Ben Bernanke, son président, a ajouté qu'il "y a des arguments justifiant davantage d'interventionnisme", laissant entendre qu'uns troisième série d'assouplisseents quantitatifs n'était pas à exclure.
En zone euro, les négociations concernant les échanges de dettes entre la Grèce et ses créanciers devaient reprendre à Athènes en cours de journée.
Une étude a également indiqué aujourd'hui que le moral des consommateurs allemands avait connu une amélioration en janvier.
L'indice Gfk de leur humeur s'est en effet élevé à 5.9 pour ce mois-ci, contre 5.7 revus à la hausse pour décembre, dépassant ainsi légèrement les 5.6 attendus.
La monnaie unique n'a presque gagné de terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.01% pour se hisser à 0.8373.
Les Etats-Unis fourniront aujourd'hui leurs résultats officiels concernant les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que les commandes de biens durables.