Investing.com - L'euro a vu fondre sa progression face au dollar U.S. ce jeudi, après que la Banque Centrale Européenne ait abaissé son taux d'intérêt directeur sans crier gare, tandis que la démissiion de George Papandreou, premier ministre de la Grèce, était attendue dans la soirée.
La paire EUR/USD est redescendue depuis 1.3834, son cours le plus élevé depuis mardi, jusqu'à 1.3765 en seconde partie de séance européenne, arrachant tout de même 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3582, son plancher du 12 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.3827, son plafond de mercredi.
La BCE a en effet rétrogradé son taux de base de 1.5 à 1.25%, l'aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro éclipsant la crainte d'une persistance de l'inflation élevée.
Le gouvernement de M. Papandreou se trouvait quand à lui au bord de l'implosion, plusieurs ministres ayant déclaré ne pas soutenir l'initiative d'un referendum à propos du plan de secours adopté la semaine dernière.
La devise européenne s'était auparavant trouvée fortement renforcée par les rumeurs selon lesquelles cette consultation populaire pourrait être annulée, à l'approche du vote de confiance du gouvernement grec prévu pour demain.
Les dirigeants franco-allemands aient averti hier Athènes qu'elle ne recevrait plus d'aides européennes jusqu'à ce qu'elle décide de continuer ou non de faire partie de la zone euro.
Le département d'état au travail américain a pour sa part fait savoir que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage de la semaine dernière avait été inférieur aux craintes, augmentant de 397 000 unités contre 406 000 pour la précédente, et ce alors que les experts tablaient sur 401 000 demandes.
La monnaie unique a par ailleurs perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.38% pour glisser à 0.8588.
La Banque Centrale Européenne devait pour sa part tenir aujourd'hui sa première réunion présidée par Mario Draghi, et l'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis rendre son rapport sur l'activité tertiaire.
La paire EUR/USD est redescendue depuis 1.3834, son cours le plus élevé depuis mardi, jusqu'à 1.3765 en seconde partie de séance européenne, arrachant tout de même 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3582, son plancher du 12 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.3827, son plafond de mercredi.
La BCE a en effet rétrogradé son taux de base de 1.5 à 1.25%, l'aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro éclipsant la crainte d'une persistance de l'inflation élevée.
Le gouvernement de M. Papandreou se trouvait quand à lui au bord de l'implosion, plusieurs ministres ayant déclaré ne pas soutenir l'initiative d'un referendum à propos du plan de secours adopté la semaine dernière.
La devise européenne s'était auparavant trouvée fortement renforcée par les rumeurs selon lesquelles cette consultation populaire pourrait être annulée, à l'approche du vote de confiance du gouvernement grec prévu pour demain.
Les dirigeants franco-allemands aient averti hier Athènes qu'elle ne recevrait plus d'aides européennes jusqu'à ce qu'elle décide de continuer ou non de faire partie de la zone euro.
Le département d'état au travail américain a pour sa part fait savoir que le nombre des nouvelles inscriptions au chômage de la semaine dernière avait été inférieur aux craintes, augmentant de 397 000 unités contre 406 000 pour la précédente, et ce alors que les experts tablaient sur 401 000 demandes.
La monnaie unique a par ailleurs perdu du terrain sur la livre sterling, l'EUR/GBP cédant 0.38% pour glisser à 0.8588.
La Banque Centrale Européenne devait pour sa part tenir aujourd'hui sa première réunion présidée par Mario Draghi, et l'institut de gestion des approvisionnements des Etats-Unis rendre son rapport sur l'activité tertiaire.