Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse ce jeudi, le net renforcement du dollar U.S. et les craintes concernant les perspectives économiques américaines tirant les prix vers le bas.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 93.88 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 0.69%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 93.72 USD, avec 0.85% de fléchissement, leur cours le plus faible du jour.
La banque centrale américaine a en effet maintenu son taux d'intérêt directeur pour juin à 0.25%, sa plus faible valeur historique, et n'a pas laissé entendre que de nouvelles mesures stimulatrices seraient mises en place après l'achèvement à la fin du mois du programme d'achats d'obligations à hauteur de 600 milliards d'USD.
Dans son communiqué, elle a précisé avoir rabaissé ses prévisions de croissance de l'économie nationale pour 2011 entre 2.7 et 2.9%, au lieu de 3.1 à 3.3% auparavant. Il en a été de même pour celles de 2012, et les décideurs ont également envisagé une hausse du chômage.
Lors de son discours en ayant suivi la publication, Ben Bernanke, son président, a déclaré que "certains des facteurs jouant en notre défaveur, notamment dans l'immobilier, pourraient se révéler plus importants et durables que nous le pensions".
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a gagné 0.48% de son côté pour se situer à 75.65.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les prix ont toutefois bénéficié des chiffres officiels dévoilés hier montrant que les réserves d'essence américaines avaient baissé de 0.5 millions de barils sans prévenir, prenant à rebours les prévisions des experts attendant une augmentation de 0.8 millions.
Le total des réserves d'or noir du pays a par ailleurs chuté de 1.7 millions de barils, soit légèrement plus que les 1.6 millions attendus.
Les Etats-Unis demeurent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour août ont dégringolé de 1.03% pour se retrouver à 112.31 USD du baril dans le même temps, soit 18.43 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 93.88 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 0.69%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 93.72 USD, avec 0.85% de fléchissement, leur cours le plus faible du jour.
La banque centrale américaine a en effet maintenu son taux d'intérêt directeur pour juin à 0.25%, sa plus faible valeur historique, et n'a pas laissé entendre que de nouvelles mesures stimulatrices seraient mises en place après l'achèvement à la fin du mois du programme d'achats d'obligations à hauteur de 600 milliards d'USD.
Dans son communiqué, elle a précisé avoir rabaissé ses prévisions de croissance de l'économie nationale pour 2011 entre 2.7 et 2.9%, au lieu de 3.1 à 3.3% auparavant. Il en a été de même pour celles de 2012, et les décideurs ont également envisagé une hausse du chômage.
Lors de son discours en ayant suivi la publication, Ben Bernanke, son président, a déclaré que "certains des facteurs jouant en notre défaveur, notamment dans l'immobilier, pourraient se révéler plus importants et durables que nous le pensions".
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a gagné 0.48% de son côté pour se situer à 75.65.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à descendre quand ce dernier monte, les rendant plus coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les prix ont toutefois bénéficié des chiffres officiels dévoilés hier montrant que les réserves d'essence américaines avaient baissé de 0.5 millions de barils sans prévenir, prenant à rebours les prévisions des experts attendant une augmentation de 0.8 millions.
Le total des réserves d'or noir du pays a par ailleurs chuté de 1.7 millions de barils, soit légèrement plus que les 1.6 millions attendus.
Les Etats-Unis demeurent les premiers consommateurs de pétrole au monde.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour août ont dégringolé de 1.03% pour se retrouver à 112.31 USD du baril dans le même temps, soit 18.43 USD de mieux que leurs homologues américaines.