Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, dans l'expectative des résultats économiques américains cruciaux devant être publiés dans l'après-midi, tandis que la croissance européenne peu reluisante nuisait à la popularité des valeurs audacieuses.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,15% pour tomber à 1,2900.
Les premières évaluations montraient en effet que le produit intérieur brut de la région ayant adopté la monnaie unique avait éprouvé un revers de 0,2% au premier trimestre, au lieu des 0,1% déjà redoutés à la suite des 0,6% déplorés auparavant.
Il avait auparavant été noté que celui de l'Allemagne avait moins augmenté dans le même temps qu'espéré, frémissant de 0,1% après avoir sombré de 0,7% lors du précédent, alors que les experts pensaient le voir gonfler de 0,3%.
Il aurait du coup diminué de 1,7% d'une année sur l'autre, une déception par rapport au frémissement de 0,2% attendu, après avoir arraché 0,1% pour les trois derniers mois de l'année.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0,19% pour se hisser à 1,5240.
Celle-ci a repris des couleurs après que les autorités britanniques aient révélé que avoir compté 7.300 demandeurs d'emploi de moins au Royaume-Uni en avril qu'espéré, dépassant les espérances après les 9.900 déjà constatés auparavant.
Les spécialistes ne pensaient pourtant pas voir une soustraction de plus de 3.000 d'entre eux pour la période considérée.
Le taux de chômage a d'autre part été raboté depuis 7,9 vers 7,8% pour mars, alors qu'une stagnation semblait probable.
La Banque d'Angleterre a quand à elle exprimé ses espoirs pour l'économie dans son bulletin mensuel sur l'inflation, prédisant une relance "modérée mais soutenue", tout en avertissant que les prix devraient continuer à augmenter fortement au moins jusqu'en 2015.
Le yen a bien résisté à sa pression, l'USD/JPY trébuchant de 0,01% pour glisser à 102,40, mais le franc suisse y a succombé, l'USD/CHF grignotant 0,21% pour culminer à 0,9691.
Le centre de recherches économiques ZEW avait pointé du doigt dans la matinée un effondrement de son baromètre des attentes économiques helvètes depuis 20,0 vers 2,2 pour le mois passé, alors qu'une ascension à 25,0 était envisagée.
Des informations émanant des autorités du Japon avaient souligné à l'aube que l'activité du secteur tertiaire du pays avait plongé de 1,3% en mars, soit nettement plus que les 0,6% qui étaient craints, après avoir pourtant connu un sursaut de 1,2% en février.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,16% pour se retrouver à 0,9874, le NZD/USD se laissant arracher 0,01% pour toucher le fond à 0,8197 et l'USD/CAD prenant 0,20% pour monter à 1,0201.
Un étude officielle avait annoncé en début de journée que les ventes de véhicules neufs de l'Australie avaient plongé de 1,6% le mois passé, aggravant les 0,5% précédemment enregistrés.
Il a d'autre part été signalé que les salaires nationaux s'étaient améliorés de seulement 0,7% au cours des trois premiers mois de l'année, au lieu des 0,8% pressentis pour continuer dans la direction des 0,8% enregistrés entre début octobre et fin décembre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,28% pour se situer à 83,94.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix d'usine, leur production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et un rapport sur l'activité dans le domaine secondaire de la région de New York.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0,15% pour tomber à 1,2900.
Les premières évaluations montraient en effet que le produit intérieur brut de la région ayant adopté la monnaie unique avait éprouvé un revers de 0,2% au premier trimestre, au lieu des 0,1% déjà redoutés à la suite des 0,6% déplorés auparavant.
Il avait auparavant été noté que celui de l'Allemagne avait moins augmenté dans le même temps qu'espéré, frémissant de 0,1% après avoir sombré de 0,7% lors du précédent, alors que les experts pensaient le voir gonfler de 0,3%.
Il aurait du coup diminué de 1,7% d'une année sur l'autre, une déception par rapport au frémissement de 0,2% attendu, après avoir arraché 0,1% pour les trois derniers mois de l'année.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0,19% pour se hisser à 1,5240.
Celle-ci a repris des couleurs après que les autorités britanniques aient révélé que avoir compté 7.300 demandeurs d'emploi de moins au Royaume-Uni en avril qu'espéré, dépassant les espérances après les 9.900 déjà constatés auparavant.
Les spécialistes ne pensaient pourtant pas voir une soustraction de plus de 3.000 d'entre eux pour la période considérée.
Le taux de chômage a d'autre part été raboté depuis 7,9 vers 7,8% pour mars, alors qu'une stagnation semblait probable.
La Banque d'Angleterre a quand à elle exprimé ses espoirs pour l'économie dans son bulletin mensuel sur l'inflation, prédisant une relance "modérée mais soutenue", tout en avertissant que les prix devraient continuer à augmenter fortement au moins jusqu'en 2015.
Le yen a bien résisté à sa pression, l'USD/JPY trébuchant de 0,01% pour glisser à 102,40, mais le franc suisse y a succombé, l'USD/CHF grignotant 0,21% pour culminer à 0,9691.
Le centre de recherches économiques ZEW avait pointé du doigt dans la matinée un effondrement de son baromètre des attentes économiques helvètes depuis 20,0 vers 2,2 pour le mois passé, alors qu'une ascension à 25,0 était envisagée.
Des informations émanant des autorités du Japon avaient souligné à l'aube que l'activité du secteur tertiaire du pays avait plongé de 1,3% en mars, soit nettement plus que les 0,6% qui étaient craints, après avoir pourtant connu un sursaut de 1,2% en février.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,16% pour se retrouver à 0,9874, le NZD/USD se laissant arracher 0,01% pour toucher le fond à 0,8197 et l'USD/CAD prenant 0,20% pour monter à 1,0201.
Un étude officielle avait annoncé en début de journée que les ventes de véhicules neufs de l'Australie avaient plongé de 1,6% le mois passé, aggravant les 0,5% précédemment enregistrés.
Il a d'autre part été signalé que les salaires nationaux s'étaient améliorés de seulement 0,7% au cours des trois premiers mois de l'année, au lieu des 0,8% pressentis pour continuer dans la direction des 0,8% enregistrés entre début octobre et fin décembre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,28% pour se situer à 83,94.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec leur inflation des prix d'usine, leur production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et un rapport sur l'activité dans le domaine secondaire de la région de New York.