Investing.com - Les options sur le brut oscillaient entre légers gains et pertes minimes ce lundi matin, dans le sillage d'informations portant sur l'activité des usines chinoises.
L'ambiance se trouvait également assombrie par les rumeurs persistantes de serrage des boulons de la banque centrale des Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 96,65 USD le baril en première partie de séance européenne, sans évolutions majeures.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 96,08 USD, leur cours le plus bas du jour, et 96,87 USD, leur meilleur.
Une étude officielle a en effet signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine s'était rétracté depuis 50,8 vers 50,1 pour juin, limitant les dégâts par rapport aux 50,0 redoutés.
Il a ensuite été noté que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion partant d'une évaluation préalable à 48,3 jusqu'à 48,2, s'enfonçant davantage sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur, et se rétractant à son pire niveau en neuf mois.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les informations officielles sur le volume de la masse salariale non-agricole des Etats-Unis de vendredi prochain seront désormais surveillées comme le lait sur le feu, en quête d'indices sur les avancées du marché de l'emploi du pays.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Ses assouplissements quantitatifs sont en effet généralement vus comme un des facteurs cruciaux d'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont laissé échapper 0,1% pour glisser à 102,28 USD du baril dans le même temps, soit 5,36 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus faible depuis janvier 2011.
Celui-ci a fondu ces dernières semaines, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.
L'ambiance se trouvait également assombrie par les rumeurs persistantes de serrage des boulons de la banque centrale des Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont échangés à 96,65 USD le baril en première partie de séance européenne, sans évolutions majeures.
Ils avaient auparavant hésité dans une bande limitée entre 96,08 USD, leur cours le plus bas du jour, et 96,87 USD, leur meilleur.
Une étude officielle a en effet signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine s'était rétracté depuis 50,8 vers 50,1 pour juin, limitant les dégâts par rapport aux 50,0 redoutés.
Il a ensuite été noté que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion partant d'une évaluation préalable à 48,3 jusqu'à 48,2, s'enfonçant davantage sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur, et se rétractant à son pire niveau en neuf mois.
Sa voracité pétrolière n'est seconde que derrière celle des Etats-Unis, et reste la principale responsable de l'augmentation de la demande.
Les informations officielles sur le volume de la masse salariale non-agricole des Etats-Unis de vendredi prochain seront désormais surveillées comme le lait sur le feu, en quête d'indices sur les avancées du marché de l'emploi du pays.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Ses assouplissements quantitatifs sont en effet généralement vus comme un des facteurs cruciaux d'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour août ont laissé échapper 0,1% pour glisser à 102,28 USD du baril dans le même temps, soit 5,36 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus faible depuis janvier 2011.
Celui-ci a fondu ces dernières semaines, en raison de l'augmentation des perspectives de production en Mer du Nord, et des signes de réduction des stocks du terminal de Cushing, dans l'état de l'Oklahoma, où ont lieu les livraisons Nymex.