Investing.com - Les bourses asiatiques étaient clairement clivées ce jeudi matin, les valeurs liées à la croissance subissant les inquiétudes au sujet de celle de la Chine.
Les nippones nageaient cependant à contre-courant, grâce à l'espoir d'assouplisseents musclés de la part de la Banque du Japon sous l'impulsion de Haruhiko Kuroda, son nouveau gouverneur.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 1.2% et le Hang Seng de Hong Kong 0.2%, mais le Nikkei 225 japonais encaissait 1.2%.
Sydney a ainsi plongé à son pire niveau en une semaine, tirée vers le bas par des exploitant affectés par la baisse des cours des métaux.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto reculaient ainsi respectivementt de 1.4% et 1.5%, et le spécialiste du minerai de fer Fortescue Metals Group de 6.2%.
Les bons chiffres de l'emploi nationaux révélés à l'aube n'ont paradoxalement guère contribué à produire une remontée, car ils entraînaient une réduction des chances de nouvelles baisses des taux de la part de la Réserve Bancaire d'Australie.
Une étude officielle a ainsi montré la création de 71 500 emplois en février, du jamais vu en dix ans, pulvérisant les 9 000 envisagées.
Hong Kong était aussi en repli, se retrouvant au plus bas des trois mois écoulés, en raison des inquiétudes sur l'état de santé de la seconde économie mondiale.
Les promoteurs immobiliers constituaient son plus gros boulet, suite aux restriction gouvernementales visant à juguler la bulle imobilière, Sino Land s'écroulant ainsi de 1%, Sun Hung Kai Properties de 2.9% et Henderson Land Development de 2.8%.
Tokyo redressait par contre la barre après trois jours de déclin après que la chabre des représentants japonaise ait approuvé la nomination de Haruhiko Kuroda à la tête de la banque centrale par le premier ministre sur le retour Shinzo Abe.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 18% depuis le début de l'année, pour culminer à son altitude la plus élevée depuis septebre 2008, le moral reprenant de la vigueur alors que l'attente de mesures monétaires plus agressives battait son plein suite à cette récente récente manoeuvre.
Les spécialistes du logement étaient parmi le peloton de tête, le secteur de la pierre semblant devoir être un des plus gros bénéficiaires du futur rebond de l'inflation.
Mitsui Fudosan s'envolait du coup de 5.3%, suivi de Sumitomo Realty & Development avec 3.9%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt en forme, partageant l'optimisme venu de l'autre côté de l'Atlantique.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.2%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.2% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0.2% également et sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
Les chefs d'état de la zone l'ayant adoptée entameront aujourd'hui deux jours de sommet économique à Bruxelles.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur inflation des prix à la production, ainsi qu'avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
Les nippones nageaient cependant à contre-courant, grâce à l'espoir d'assouplisseents musclés de la part de la Banque du Japon sous l'impulsion de Haruhiko Kuroda, son nouveau gouverneur.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 1.2% et le Hang Seng de Hong Kong 0.2%, mais le Nikkei 225 japonais encaissait 1.2%.
Sydney a ainsi plongé à son pire niveau en une semaine, tirée vers le bas par des exploitant affectés par la baisse des cours des métaux.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto reculaient ainsi respectivementt de 1.4% et 1.5%, et le spécialiste du minerai de fer Fortescue Metals Group de 6.2%.
Les bons chiffres de l'emploi nationaux révélés à l'aube n'ont paradoxalement guère contribué à produire une remontée, car ils entraînaient une réduction des chances de nouvelles baisses des taux de la part de la Réserve Bancaire d'Australie.
Une étude officielle a ainsi montré la création de 71 500 emplois en février, du jamais vu en dix ans, pulvérisant les 9 000 envisagées.
Hong Kong était aussi en repli, se retrouvant au plus bas des trois mois écoulés, en raison des inquiétudes sur l'état de santé de la seconde économie mondiale.
Les promoteurs immobiliers constituaient son plus gros boulet, suite aux restriction gouvernementales visant à juguler la bulle imobilière, Sino Land s'écroulant ainsi de 1%, Sun Hung Kai Properties de 2.9% et Henderson Land Development de 2.8%.
Tokyo redressait par contre la barre après trois jours de déclin après que la chabre des représentants japonaise ait approuvé la nomination de Haruhiko Kuroda à la tête de la banque centrale par le premier ministre sur le retour Shinzo Abe.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 18% depuis le début de l'année, pour culminer à son altitude la plus élevée depuis septebre 2008, le moral reprenant de la vigueur alors que l'attente de mesures monétaires plus agressives battait son plein suite à cette récente récente manoeuvre.
Les spécialistes du logement étaient parmi le peloton de tête, le secteur de la pierre semblant devoir être un des plus gros bénéficiaires du futur rebond de l'inflation.
Mitsui Fudosan s'envolait du coup de 5.3%, suivi de Sumitomo Realty & Development avec 3.9%.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt en forme, partageant l'optimisme venu de l'autre côté de l'Atlantique.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyant une hausse de 0.2%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0.2% aussi, celles sur le DAX 30 allemand à 0.2% également et sur le FTSE 100 britannique à 0.1%.
Les chefs d'état de la zone l'ayant adoptée entameront aujourd'hui deux jours de sommet économique à Bruxelles.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur inflation des prix à la production, ainsi qu'avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.