Investing.com - Les options sur le brut étaient en difficulté ce mardi, la circonspection étant à l'ordre du jour à quelques heures de l'entame des deux jours de prise de cap de la banque centrale des Etats-Unis, sur fond d'incertitudes concernant ses orientations futures.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 104,05 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,48%.
Ils avaient touché le fond hier à 104,55 USD, avec un faux pas de 0,14%.
Les cours se sont retrouvés sur un mauvais pied en raison du renforcement du billet vert à l'approche de la publication du bulletin de politique onétaire de son émettrice, les bons résultats là où il a cours ayant récemment accentué le flou sur le moment où elle réduira la voilure de son programme de rachats d'actifs.
Les spécialistes de l'immobilier ont ainsi fait savoir que le nombre des ventes de logements en cours avait limité les dégâts à 0,4% en juin, au lieu des 1% redoutés suite à l'explosion de 5,8% du mois précédent.
Les apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Mais la baisse demeurait limitée en raison des risques de perturbations des flux provenant du Moyen-Orient, après que la Libye ait vu une attaque contre les bureaux du parti islamiste à Tripoli et la mort d'un soldat lors d'affrontements à Benghazi.
Les manifestatiosn qui se poursuivaient en Egypte n'était pas non plus de nature à apaiser l'angoisse d'une extension du conflit aux autres pays de la région.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont laissé échapper 0,03% pour glisser à 107,42 USD du baril dans le même temps, soit 3,37 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 104,05 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0,48%.
Ils avaient touché le fond hier à 104,55 USD, avec un faux pas de 0,14%.
Les cours se sont retrouvés sur un mauvais pied en raison du renforcement du billet vert à l'approche de la publication du bulletin de politique onétaire de son émettrice, les bons résultats là où il a cours ayant récemment accentué le flou sur le moment où elle réduira la voilure de son programme de rachats d'actifs.
Les spécialistes de l'immobilier ont ainsi fait savoir que le nombre des ventes de logements en cours avait limité les dégâts à 0,4% en juin, au lieu des 1% redoutés suite à l'explosion de 5,8% du mois précédent.
Les apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Mais la baisse demeurait limitée en raison des risques de perturbations des flux provenant du Moyen-Orient, après que la Libye ait vu une attaque contre les bureaux du parti islamiste à Tripoli et la mort d'un soldat lors d'affrontements à Benghazi.
Les manifestatiosn qui se poursuivaient en Egypte n'était pas non plus de nature à apaiser l'angoisse d'une extension du conflit aux autres pays de la région.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont laissé échapper 0,03% pour glisser à 107,42 USD du baril dans le même temps, soit 3,37 USD de mieux que leurs homologues américaines.