Investing.com - L'euro s'est retrouvé aux abords d'un sommet des deux semaines écoulées face à la livre sterling ce mercredi après-midi, les informations montrant que les entreprises de services dans la région où cette dernière a cours avaient subi un revers le mois passé ravivant les angoisses concernant le futur de son économie.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8024 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 20 septembre, puis s'est stabilisée vers 0.8015, prenant 0.1%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.7977, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0.8045, son plafond déjà évoqué.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine tertiaire britannique, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est ainsi descendu depuis 53.7 vers 52.2 pour septembre, au lieu des 53.1 déjà redoutés.
L'étude précisait que le mois passé avait été le théâtre des premières pertes d'emploi dans ce domaine depuis juillet 2011, semant le doute quand à la capacité nationale à rebondir après une forte récession.
La monnaie unique restait dans le collimateur après que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy ait exclu dans la soirée de mardi qu'une demande de secours soit formulée avant la fin de semaine, malgré les rumeurs grandissantes d'un recours à une aide extérieure.
Elle a toutefois retrouvé des couleurs après que les autorités européennes aient souligné que les ventes au détail dans la région l'ayant adoptée avaient augmenté de 0.1% en août, alors d'un déclin d'un pourcentage identique était envisagé.
Des informations révisées montraient aussi que l'indice de l'activité dans le secteur des services du bloc euro avait chuté jusqu'à 46.1 pour le mois passé, soit nettement moins que les 50 dénotant la progression.
Des chiffres officiels avaient aussi montré en début de matinée que la croissance de celui de la Chine avait été plus modérée en septembre, attisant l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
La devise européenne n'a par ailleurs presque pas gagné de terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD grignotant 0.02% pour se hisser à 1.292, pas le yen lui a moins résisté, l'EUR/JPY gagnant 0.11% pour s'établir à 101.06.
Aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP conclura de son côté la journée avec ses informations au sujet de l'évolution du nombre des salariés hors agriculture, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements divulguera une étude sur l'activité dans le domaine des services.
La paire EUR/GBP est montée jusqu'à 0.8024 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 20 septembre, puis s'est stabilisée vers 0.8015, prenant 0.1%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.7977, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 0.8045, son plafond déjà évoqué.
L'indice des directeurs des achats dans le domaine tertiaire britannique, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS est ainsi descendu depuis 53.7 vers 52.2 pour septembre, au lieu des 53.1 déjà redoutés.
L'étude précisait que le mois passé avait été le théâtre des premières pertes d'emploi dans ce domaine depuis juillet 2011, semant le doute quand à la capacité nationale à rebondir après une forte récession.
La monnaie unique restait dans le collimateur après que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy ait exclu dans la soirée de mardi qu'une demande de secours soit formulée avant la fin de semaine, malgré les rumeurs grandissantes d'un recours à une aide extérieure.
Elle a toutefois retrouvé des couleurs après que les autorités européennes aient souligné que les ventes au détail dans la région l'ayant adoptée avaient augmenté de 0.1% en août, alors d'un déclin d'un pourcentage identique était envisagé.
Des informations révisées montraient aussi que l'indice de l'activité dans le secteur des services du bloc euro avait chuté jusqu'à 46.1 pour le mois passé, soit nettement moins que les 50 dénotant la progression.
Des chiffres officiels avaient aussi montré en début de matinée que la croissance de celui de la Chine avait été plus modérée en septembre, attisant l'angoisse d'une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
La devise européenne n'a par ailleurs presque pas gagné de terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD grignotant 0.02% pour se hisser à 1.292, pas le yen lui a moins résisté, l'EUR/JPY gagnant 0.11% pour s'établir à 101.06.
Aux Etats-Unis, l'agence de gestion des ressources humaines ADP conclura de son côté la journée avec ses informations au sujet de l'évolution du nombre des salariés hors agriculture, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements divulguera une étude sur l'activité dans le domaine des services.