Investing.com - Le dollar U.S. a sombré dans un creux mensuel face au yen ce lundi matin, son blason se trouvant terni par l'approche des deux jours de prise de cap de son émettrice, sur fond de flou concernant la pérennité de ses coupps de pouce.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 97,64 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 25 juin, puis s'est stabilisée vers 9è,96, perdant 0,36%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 96,96, son plancher du 25 juin, et de rencontrer de la résistance à 98,70, son plafond du 24 juin.
La nervosité était en effet palpable après que les résultats peu glorieux publiés la semaine passée par les Etats-Unis aient ravivé les incertitudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale.
L'université du Michigan a ainsi fait savoir vendredi que son baromètre du moral de leurs consomateurs avait frémi depuis 83,9 vers 85,1 pour le mois en cours, au lieu des 84,0 espérés.
Mais le département d'état au travail américain avait dénombré la veille 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Le gouvernement nippon a pour sa part souligné à l'aube 1,6% de ventes au détail supplémentaires d'une année sur l'autre pour juin, une déception au vu des 1,9% attendus après les 0,8% précédents.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, a quand à lui confirmé que les mesures prises en avril par cette dernière avaient eu des effets positifs sur les marchés financiers, l'économie et les évolutions des prix attendues.
Il a cependant averti lors d'une conférence devant un institut de recherches basé à Tokyo que les 2% d'inflation qu'elle vise demeuraient encore loin.
La devise de l'archipel a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY dérapant de 0,44% pour glisser à 129,96.
Les spécialistes de l'immobilier américain devraient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements en cours.
La paire USD/JPY est descendue jusqu'à 97,64 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 25 juin, puis s'est stabilisée vers 9è,96, perdant 0,36%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 96,96, son plancher du 25 juin, et de rencontrer de la résistance à 98,70, son plafond du 24 juin.
La nervosité était en effet palpable après que les résultats peu glorieux publiés la semaine passée par les Etats-Unis aient ravivé les incertitudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de la Réserve Fédérale.
L'université du Michigan a ainsi fait savoir vendredi que son baromètre du moral de leurs consomateurs avait frémi depuis 83,9 vers 85,1 pour le mois en cours, au lieu des 84,0 espérés.
Mais le département d'état au travail américain avait dénombré la veille 7.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 20 juillet, pour un total hebdomadaire corrigé de 343.000, alors qu'une addition de 6.000 pour les amener à 340.000 était déjà redoutée.
Le gouvernement nippon a pour sa part souligné à l'aube 1,6% de ventes au détail supplémentaires d'une année sur l'autre pour juin, une déception au vu des 1,9% attendus après les 0,8% précédents.
Haruhiko Kuroda, nouveau gouverneur de la Banque du Japon, a quand à lui confirmé que les mesures prises en avril par cette dernière avaient eu des effets positifs sur les marchés financiers, l'économie et les évolutions des prix attendues.
Il a cependant averti lors d'une conférence devant un institut de recherches basé à Tokyo que les 2% d'inflation qu'elle vise demeuraient encore loin.
La devise de l'archipel a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/JPY dérapant de 0,44% pour glisser à 129,96.
Les spécialistes de l'immobilier américain devraient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements en cours.