Investing.com - Les options sur l'or ont repris de la vigueur ce mardi, relevant la tête pour la première fois en trois jours de cotation, la large perte de vitesse du dollar U.S. redorant leur blason, tandis que les investisseurs attendaient la seconde injection de liquidités de la Banque Centrale Européenne pour établir de nouvelles positions.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 777.15 USD de l'once en fin de séance européenne, prenant 0.54%.
Ils avaient précédement culminé à 1 778.55 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.6% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 763.25 USD, leur plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1 788.85 USD, leur plus haut niveau depuis la mi-novembre, atteint le 23 février.
Les prix ont évolué aujourd'hui dans les pas de l'euro, le moral ayant été encouragé par l'approbation par les députés allemands du second plan de secours à la Grèce.
Ils demeurent plus sensibles à court terme au taux de change euro/dollar qu'au retour de la frilosité, qui était auparavant le principal moteur de leur hausse.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.34% de son côté pour se situer à 78.36.
La monnaie unique demeurait toutefois vulnérable après que l'agence Standard & Poor's ait revu à la baisse son appréciation des emprunts à long terme de la Grèce, les plaçant en "défaut de paiement partiel", suite à la décision de son gouvernement d'ajouter des "clauses d'action collective" à ses obligations.
Les cours demeuraient toutefois soutenus par l'attente de la seconde opération d'injection de liquidités de la Banque Centrale Européenne prévue dans la semaine.
Ce second plan de refinancement à long terme sur trois ans, dénommé LTRO, est prévu pour le 29 février et pourrait représenter, d'après les experts, un total de 500 milliards d'euros.
L'augmentation du volume d'argent facile peut elle aussi aider l'or, car la surabondance de liquidités met un frein à la valorisation des monnaies de papier, augmentant son intérêt en tant que garde-fou contre l'inflation.
Le métal précieux a également bénéficié des chiffres du Fonds Monétaire International indiquant que les banques centrales du Kazakhstan, de Turquie et du Belarus ont renforcé leurs réserves le mois dernier.
Leurs collègues du monde entier en ont acquis en réaction à la crise de la dette souveraine de la zone euro, mettant à mal les monnaies de réserve traditionnelles, au rang desquelles le dollar U.S. et l'euro.
Le World Gold Council a affirmé dans son rapport trimestriel sur les tendancees de la demande publié ce mois-ci que les achats des banques centrales avaient été en 2011 les plus importants depuis au moins 40 ans.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.45% pour grimper à 35.77 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont 0.55% pour se retrouver à 3.91 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour avril se sont échangés à 1 777.15 USD de l'once en fin de séance européenne, prenant 0.54%.
Ils avaient précédement culminé à 1 778.55 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.6% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 763.25 USD, leur plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à 1 788.85 USD, leur plus haut niveau depuis la mi-novembre, atteint le 23 février.
Les prix ont évolué aujourd'hui dans les pas de l'euro, le moral ayant été encouragé par l'approbation par les députés allemands du second plan de secours à la Grèce.
Ils demeurent plus sensibles à court terme au taux de change euro/dollar qu'au retour de la frilosité, qui était auparavant le principal moteur de leur hausse.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.34% de son côté pour se situer à 78.36.
La monnaie unique demeurait toutefois vulnérable après que l'agence Standard & Poor's ait revu à la baisse son appréciation des emprunts à long terme de la Grèce, les plaçant en "défaut de paiement partiel", suite à la décision de son gouvernement d'ajouter des "clauses d'action collective" à ses obligations.
Les cours demeuraient toutefois soutenus par l'attente de la seconde opération d'injection de liquidités de la Banque Centrale Européenne prévue dans la semaine.
Ce second plan de refinancement à long terme sur trois ans, dénommé LTRO, est prévu pour le 29 février et pourrait représenter, d'après les experts, un total de 500 milliards d'euros.
L'augmentation du volume d'argent facile peut elle aussi aider l'or, car la surabondance de liquidités met un frein à la valorisation des monnaies de papier, augmentant son intérêt en tant que garde-fou contre l'inflation.
Le métal précieux a également bénéficié des chiffres du Fonds Monétaire International indiquant que les banques centrales du Kazakhstan, de Turquie et du Belarus ont renforcé leurs réserves le mois dernier.
Leurs collègues du monde entier en ont acquis en réaction à la crise de la dette souveraine de la zone euro, mettant à mal les monnaies de réserve traditionnelles, au rang desquelles le dollar U.S. et l'euro.
Le World Gold Council a affirmé dans son rapport trimestriel sur les tendancees de la demande publié ce mois-ci que les achats des banques centrales avaient été en 2011 les plus importants depuis au moins 40 ans.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.45% pour grimper à 35.77 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont 0.55% pour se retrouver à 3.91 USD la livre dans le même temps.