Investing.com - La livre sterling a pris l'avantage sur le dollar U.S. ce lundi matin, l'impasse politique sur le budget et la dette n'ayant toujours pas été résolue en fin de semaine à Washington, à l'approche de la date fatidique à laquelle ils risqueront de défaillir à leurs remboursements.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5989 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5977, prenant 0,20%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5922, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,6070, son plafond du 23 septembre.
Les négociations entre le président Barack Obama et la faction républicaine des députés se sont en effet interrompues en fin de semaine, ravivant la crainte que le plafond d'endettement maximal ne serait pas relevé avant la date limite de jeudi après laquelle un défaut de paiement sans précédent risquerait d'avoir lieu.
Les chefs des banques centrales et les ministres des finances du monde entier étaient dans le même temps réunis à Washington pour le congrès annuel du Fonds Monétaire International et de la Banque Mondiale, appelant à une "action en urgence" pour dégager un consensus, sous peine de nuire à la relance planétaire.
L'ambiance s'était assombrie après qu'il ait été montré hier que l'excédent du commerce extérieur chinois avait diminué sans crier gare en septembre, alimentant les craintes au sujet des perspectives de croissance de la seconde économie mondiale.
La livre sterling a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,04% pour glisser à 0,8486.
La zone euro comptait de son côté diffuser aujourd'hui des informations portant sur la production de ses industries.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5989 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5977, prenant 0,20%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5922, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1,6070, son plafond du 23 septembre.
Les négociations entre le président Barack Obama et la faction républicaine des députés se sont en effet interrompues en fin de semaine, ravivant la crainte que le plafond d'endettement maximal ne serait pas relevé avant la date limite de jeudi après laquelle un défaut de paiement sans précédent risquerait d'avoir lieu.
Les chefs des banques centrales et les ministres des finances du monde entier étaient dans le même temps réunis à Washington pour le congrès annuel du Fonds Monétaire International et de la Banque Mondiale, appelant à une "action en urgence" pour dégager un consensus, sous peine de nuire à la relance planétaire.
L'ambiance s'était assombrie après qu'il ait été montré hier que l'excédent du commerce extérieur chinois avait diminué sans crier gare en septembre, alimentant les craintes au sujet des perspectives de croissance de la seconde économie mondiale.
La livre sterling a par ailleurs fait mieux que résister à l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,04% pour glisser à 0,8486.
La zone euro comptait de son côté diffuser aujourd'hui des informations portant sur la production de ses industries.