Investing.com - Le dollar U.S. était pluto en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, alors que la résurgence des craintes au sujet de la crise de la dette espagnole faisaient oublier les nouveaux accomodements de la part de la Réserve Fédérale.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.24% pour tomber à 1.3098.
La monnaie unique a en effet plongé au plus bas des deux dernières journées de cotation après que la Banque Centrale Européenne ait signalé que le solde du compte courant de la région avait dégringolé de 14.3 vers 9.7 milliards d'euros pour juillet, alors que les experts ne pensaient pas le voir passer sous les 10 milliards.
Elle avait déjà perdu des plumes suite au rappel par Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la BCE, selon lequel l'Espagne aurait à demander un plan d'aide pour bénéficier du programme d'achats d'obligations de celle-ci.
Il avait auparavant été rapporté par l'agence de presse Reuters que Mariano Rajoy, premier ministre du pays, cherchait à retarder tout recours à une bouée de sauvetage, préférant toute autre stratégie possible, ajoutant que son gouvernement présenterait un nouveau plan de réformes économiques en fin de mois.
Le billet vert a cependant cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.01% pour se hisser à 1.6215.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait toutefois fragilisée alors que la Banque d'Angleterre s'apprêtait cette semaine à publier le compte-rendu de sa réunion d'orientation d'août, et que son gouverneur Mervyn King devait témoigner des perspectives économiques et de l'état de l'inflation devant le comité financier parlementaire.
Il a à peine subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0.01% pour glisser à 78.38, et imposé la sienne au franc suisse, l'USD/CHF gagnant 0.29% pour grimper à 0.9293.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD arrachant 0.05% pour monter à 0.9721, l'AUD/USD cédant 0.21% pour se retrouver à 1.0527 et le NZD/USD frémissant de 0.03% pour culminer à 0.8293.
Du côté de la Nouvelle-Zélande, la Westpac Banking Corporation avait fait savoir en début de journée que son indice du moral des consommateurs était passé de 99.9 à 102.5 pour le troisième trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.16% pour se situer à 79.11.
Le billet vert a en effet perdu des plumes après que la Fed ait déclaré la semaine passée qu'elle acquerrait 40 milliards de titres sécurisés adossés à des hypothèques tous les mois, jusqu'à ce que le marché de l'emploi sorte la tête de l'eau.
Elle a ajouté s'attendre à ne pas modifier des taux à court terme se situant à leur plus bas niveau historique avant la mi-2015 au plus tôt, soit six mois de plus qu'envisagé auparavant.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec leur indice de l'activité manufacturière dans la région de New York.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.24% pour tomber à 1.3098.
La monnaie unique a en effet plongé au plus bas des deux dernières journées de cotation après que la Banque Centrale Européenne ait signalé que le solde du compte courant de la région avait dégringolé de 14.3 vers 9.7 milliards d'euros pour juillet, alors que les experts ne pensaient pas le voir passer sous les 10 milliards.
Elle avait déjà perdu des plumes suite au rappel par Ewald Nowotny, membre du conseil directeur de la BCE, selon lequel l'Espagne aurait à demander un plan d'aide pour bénéficier du programme d'achats d'obligations de celle-ci.
Il avait auparavant été rapporté par l'agence de presse Reuters que Mariano Rajoy, premier ministre du pays, cherchait à retarder tout recours à une bouée de sauvetage, préférant toute autre stratégie possible, ajoutant que son gouvernement présenterait un nouveau plan de réformes économiques en fin de mois.
Le billet vert a cependant cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD grignotant 0.01% pour se hisser à 1.6215.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait toutefois fragilisée alors que la Banque d'Angleterre s'apprêtait cette semaine à publier le compte-rendu de sa réunion d'orientation d'août, et que son gouverneur Mervyn King devait témoigner des perspectives économiques et de l'état de l'inflation devant le comité financier parlementaire.
Il a à peine subi la pression du yen, l'USD/JPY trébuchant de 0.01% pour glisser à 78.38, et imposé la sienne au franc suisse, l'USD/CHF gagnant 0.29% pour grimper à 0.9293.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne et australienne, mais pas la néo-zélandaise, l'USD/CAD arrachant 0.05% pour monter à 0.9721, l'AUD/USD cédant 0.21% pour se retrouver à 1.0527 et le NZD/USD frémissant de 0.03% pour culminer à 0.8293.
Du côté de la Nouvelle-Zélande, la Westpac Banking Corporation avait fait savoir en début de journée que son indice du moral des consommateurs était passé de 99.9 à 102.5 pour le troisième trimestre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.16% pour se situer à 79.11.
Le billet vert a en effet perdu des plumes après que la Fed ait déclaré la semaine passée qu'elle acquerrait 40 milliards de titres sécurisés adossés à des hypothèques tous les mois, jusqu'à ce que le marché de l'emploi sorte la tête de l'eau.
Elle a ajouté s'attendre à ne pas modifier des taux à court terme se situant à leur plus bas niveau historique avant la mi-2015 au plus tôt, soit six mois de plus qu'envisagé auparavant.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec leur indice de l'activité manufacturière dans la région de New York.