Investing.com - La livre sterling a bien résisté face au dollar U.S. ce vendredi, se maintenant aux abords d'un sommet de sept moins, profitant des rumeurs peu crédibles de durcissement de la politique monétaire britannique.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5776 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5804, trébuchant de 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5717, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5840, son plafond d'hier, le plus élevé depuis février.
Elle naviguait aux abords de celui-ci grâce à un recul inespéré du chômage à 7,7% pour juillet là où elle a cours.
Cette belle performance a du coup alimenté des rumeurs peu crédibles de remontée anticipée des taux de son émettrice.
Mark Carney, le nouveau gouverneurde la Banque d'Angleterre, a cependant réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plancher historique tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Il a aussi estimé hier devant le comité parlementaire de trésorerie que l'économie commençait à se remettre, grâce à son programme de soutien.
La nervosité était palpable à cause des incertitudes causées par des créations de postes américaines inférieures aux espérances, laissant peu de crédibilité à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD d'acquisitions d'actifs mensuels lors de sa réunion des 17 et 18 septembre.
La situation syrienne faisait toujours des gorges chaudes, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, ait entamé le même jour des discussions avec son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
Des désaccords ont cependant émergé, et il a déclaré que la promesse de son abandon pris par le gouvernement de la Syrie n'était "tout simplement pas suffisante".
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,10% pour chuter à 0,8407.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des consommateurs, celui de leur production industrielle et une évaluation préliminaire du moral de leurs consommateurs établie par l'université du Michigan.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5776 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5804, trébuchant de 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5717, son plancher de mercredi, et de rencontrer de la résistance à 1,5840, son plafond d'hier, le plus élevé depuis février.
Elle naviguait aux abords de celui-ci grâce à un recul inespéré du chômage à 7,7% pour juillet là où elle a cours.
Cette belle performance a du coup alimenté des rumeurs peu crédibles de remontée anticipée des taux de son émettrice.
Mark Carney, le nouveau gouverneurde la Banque d'Angleterre, a cependant réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plancher historique tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Il a aussi estimé hier devant le comité parlementaire de trésorerie que l'économie commençait à se remettre, grâce à son programme de soutien.
La nervosité était palpable à cause des incertitudes causées par des créations de postes américaines inférieures aux espérances, laissant peu de crédibilité à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD d'acquisitions d'actifs mensuels lors de sa réunion des 17 et 18 septembre.
La situation syrienne faisait toujours des gorges chaudes, après que le secrétaire d'état américain John Kerry, chargé des affaires étrangères, ait entamé le même jour des discussions avec son homologue russe Sergueï Lavrof à Genève, afin d'étudier la proposition formulée par Moscou de placer l'arsenal chimique de Damas sous contrôle international.
Des désaccords ont cependant émergé, et il a déclaré que la promesse de son abandon pris par le gouvernement de la Syrie n'était "tout simplement pas suffisante".
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP trébuchant de 0,10% pour chuter à 0,8407.
Les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec le volume de leurs ventes auprès des consommateurs, celui de leur production industrielle et une évaluation préliminaire du moral de leurs consommateurs établie par l'université du Michigan.