Investing.com - Le Dow Jones et le S&P 500 ont conclu à leur plus hauts niveaux historiques, bien que les rumeurs portant sur un éventuel assèchement prochain des perfusions de la banque centrale des Etats-Unis continuent à plomber l'atmosphère.
Le premier a ainsi frémi de 0,02% pour terminer la semaine avec une poussée de 2,2%, la second faisant encore mieux avec 0,31% journaliers et 3% hebdomadaires, sa plus belle performance sur cette période depuis janvier, le Nasdaq n'étant pas en reste avec un sursaut de 0,64%, pour une progression totale de 3,5% depuis l'ouverture de lundi.
Le moral a cependant repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait déclaré mercredi que l'économie nationale nécessitait encore d'être soutenue.
Il a ainsi confirmé qu'elle maintiendrait le niveau de ses assouplissements aussi longtemps que portaient les prévisions, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un emploi déprimé.
Il était à noter que Wells Fargo, quatrième banque américaine et premier sur les prêts hypothécaires, bondissait de 1,77% vendredi, après avoir revendiqué des rentrées dépassant les attentes pour le second trimestre.
J.P. Morgan Chase trébuchait par contre de 0,31% malgré des recettes là aussi supérieures aux attentes.
Le transporteur United Parcel Service dégringolait même de 5,83% sur le S&P 500 dans le même temps après avoir revu à la baisse ses projections pour l'année en cours.
Le géant aérospatial Boeing plongeait de 4,69%, freinant le Dow Jones, dans le sillage vendredi de l'incendie d'un de ses 787 Dreamliner en service pour Ethiopian Airlines sur l'aéroport londonien d'Heathrow.
Les bourses européennes étaient plus partagées, le Stoxx Europe 600 trébuchaant de 0,1%, alors que le DAX 30 allemand grimpant de 0,66% et que le FTSE 100 britannique se contentait de 0,02%.
L'Asie également, l'ASX/200 australien s'élevant de 0,17%, le Hang Seng 40 de Hong Kong se rétractant de 0,75% et le Nikkei 225 japonais frémissant quand à lui de 0,23%.
Sur le marché aux produits bruts de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont monnayés à 105,95 USD le baril, empochant 1,3%.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières new-yorkaise, les contrats sur l'or à échéance similaire se sont échangés à 1.284,15 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, arrachant 0,3% au cours de celle-ci, s'accrochant à un pic de trois semaines.
Le premier a ainsi frémi de 0,02% pour terminer la semaine avec une poussée de 2,2%, la second faisant encore mieux avec 0,31% journaliers et 3% hebdomadaires, sa plus belle performance sur cette période depuis janvier, le Nasdaq n'étant pas en reste avec un sursaut de 0,64%, pour une progression totale de 3,5% depuis l'ouverture de lundi.
Le moral a cependant repris des couleurs après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait déclaré mercredi que l'économie nationale nécessitait encore d'être soutenue.
Il a ainsi confirmé qu'elle maintiendrait le niveau de ses assouplissements aussi longtemps que portaient les prévisions, grâce à la faiblesse de l'inflation et en raison d'un emploi déprimé.
Il était à noter que Wells Fargo, quatrième banque américaine et premier sur les prêts hypothécaires, bondissait de 1,77% vendredi, après avoir revendiqué des rentrées dépassant les attentes pour le second trimestre.
J.P. Morgan Chase trébuchait par contre de 0,31% malgré des recettes là aussi supérieures aux attentes.
Le transporteur United Parcel Service dégringolait même de 5,83% sur le S&P 500 dans le même temps après avoir revu à la baisse ses projections pour l'année en cours.
Le géant aérospatial Boeing plongeait de 4,69%, freinant le Dow Jones, dans le sillage vendredi de l'incendie d'un de ses 787 Dreamliner en service pour Ethiopian Airlines sur l'aéroport londonien d'Heathrow.
Les bourses européennes étaient plus partagées, le Stoxx Europe 600 trébuchaant de 0,1%, alors que le DAX 30 allemand grimpant de 0,66% et que le FTSE 100 britannique se contentait de 0,02%.
L'Asie également, l'ASX/200 australien s'élevant de 0,17%, le Hang Seng 40 de Hong Kong se rétractant de 0,75% et le Nikkei 225 japonais frémissant quand à lui de 0,23%.
Sur le marché aux produits bruts de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour août se sont monnayés à 105,95 USD le baril, empochant 1,3%.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières new-yorkaise, les contrats sur l'or à échéance similaire se sont échangés à 1.284,15 USD de l'once à la clôture de la séance de vendredi, arrachant 0,3% au cours de celle-ci, s'accrochant à un pic de trois semaines.