Investing.com - Le dollar U.S. s'est retrouvé dans le rouge face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, une série de résultats décevants là où il a cours ayant mis un frein aux absurdes rumeurs de fin des injections de liquidités de la Réserve Fédérale.
En seconde partie de séance européenne, il a vu fondre son avantage sur le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,07% pour se hisser à 102,35, après avoir culminé à 102,69, aux abords d'un pic de quatre ans et demi.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 32.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 10 mai, pour un total hebdomadaire de 360.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 2.000 pour les amener à 330.000 était déjà redoutée.
Un autre rapport mentionnait une chute de l'inflation nationale à 0,4% en avril, au lieu des 0,2% pressentis, marquant la seconde évolution mensuelle à la baisse d'affilée.
L'agence offcielle chargée du commerce recensait pour sa part une explosion ajustée de 14,3% du nombre des permis de construire délivrés dans le même temps, les amenant à 1,017 millions, au lieu des 3,8% qui les auraient fait atteindre les 973.000 comme prévu.
Les départs de chantiers se sont par contre écroulés de 16,5%, les rabaissant à 853.000, une performance encore pire que les 6,4% avancés, qui les auraient fait dégringoler à 973.000.
Les autorités du Japon avaient constaté à l'aube que l'économie nationale avait fait la bonne surprise de bondir de 0,9% entre début janvier et fin mars, laissant espérer que les assouplissements musclés récemment effectués avaient encouragé la consommation, ainsi que les exportations, en affaiblissant l'unité monétaire locale.
L'euro a par contre fait mieux que sauver les meubles, l'EUR/USD arachant 0,07% pour tomber à 1,2896, s'éloignant ainsi d'une ornière de près de six semaines.
Une étude officielle avait montré en fin de matinée que les prix au détail de la zone où il a cours avaient subi une érosion de 0,1% mensuels en avril, avec une inflation annuelle passant de 1,7 à 1,2% pour la période considérée.
Il était aussi à noter que la région avait enregistré dans le même temps un excédent sans précédent de son commerce extérieur, les exportations plongeant de 1% par rapport à février, tandis que les exportations explosaient de 2,8%.
Il avait été montré la veille que son économie avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi renversé la vapeur, le GBP/USD gagnant 0,13% pour s'établir à 1,5254 et l'USD/CHF trébuchant de 0,10% pour culminer à 0,9635.
La devise des Etats-Unis a par ailleurs encore moins nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,57% pour se retrouver à 0,9840, le NZD/USD se laissant arracher 0,61% pour toucher le fond à 0,8188 et l'USD/CAD prenant 0,21% pour monter à 1,0178.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,05% pour se situer à 83,86.
Les Etats-Unis comptaient conclure la journée avec l'indice de l'activité des usines de la région de Philadelphie.
En seconde partie de séance européenne, il a vu fondre son avantage sur le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,07% pour se hisser à 102,35, après avoir culminé à 102,69, aux abords d'un pic de quatre ans et demi.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 32.000 incriptions au chômage supplémentaires au cours de la semaine achevée le 10 mai, pour un total hebdomadaire de 360.000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 2.000 pour les amener à 330.000 était déjà redoutée.
Un autre rapport mentionnait une chute de l'inflation nationale à 0,4% en avril, au lieu des 0,2% pressentis, marquant la seconde évolution mensuelle à la baisse d'affilée.
L'agence offcielle chargée du commerce recensait pour sa part une explosion ajustée de 14,3% du nombre des permis de construire délivrés dans le même temps, les amenant à 1,017 millions, au lieu des 3,8% qui les auraient fait atteindre les 973.000 comme prévu.
Les départs de chantiers se sont par contre écroulés de 16,5%, les rabaissant à 853.000, une performance encore pire que les 6,4% avancés, qui les auraient fait dégringoler à 973.000.
Les autorités du Japon avaient constaté à l'aube que l'économie nationale avait fait la bonne surprise de bondir de 0,9% entre début janvier et fin mars, laissant espérer que les assouplissements musclés récemment effectués avaient encouragé la consommation, ainsi que les exportations, en affaiblissant l'unité monétaire locale.
L'euro a par contre fait mieux que sauver les meubles, l'EUR/USD arachant 0,07% pour tomber à 1,2896, s'éloignant ainsi d'une ornière de près de six semaines.
Une étude officielle avait montré en fin de matinée que les prix au détail de la zone où il a cours avaient subi une érosion de 0,1% mensuels en avril, avec une inflation annuelle passant de 1,7 à 1,2% pour la période considérée.
Il était aussi à noter que la région avait enregistré dans le même temps un excédent sans précédent de son commerce extérieur, les exportations plongeant de 1% par rapport à février, tandis que les exportations explosaient de 2,8%.
Il avait été montré la veille que son économie avait reculé de 0,2% lors des trois premiers mois de l'année, soit 0,9% annualisés.
La livre sterling et le franc suisse ont aussi renversé la vapeur, le GBP/USD gagnant 0,13% pour s'établir à 1,5254 et l'USD/CHF trébuchant de 0,10% pour culminer à 0,9635.
La devise des Etats-Unis a par ailleurs encore moins nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,57% pour se retrouver à 0,9840, le NZD/USD se laissant arracher 0,61% pour toucher le fond à 0,8188 et l'USD/CAD prenant 0,21% pour monter à 1,0178.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0,05% pour se situer à 83,86.
Les Etats-Unis comptaient conclure la journée avec l'indice de l'activité des usines de la région de Philadelphie.