Investing.com - Les options sur l'or ont remonté la pente ce jeudi matin, s'extrayant de leur creux de trois ans établi hier, la révision à la baisse de la croissance des Etats-Unis soulignée mercredi ayant étouffé les rumeurs selon lesquelles leur banque centrale commencerait à fermer les vannes d'ici la fin de l'année.
Les signes de maintien du cap de son homologue européenne ont également aplifié la tendance.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1.240,65 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0,8%.
Ils avaient auparavant culminé à 1.244,15 USD, leur meilleur cours du jour, avec une poussée de 1,1%.
La journée d'hier les avait bus dégringoler de plus de 4% pour toucher le fond à 1.221,55 USD, leur plus faible valeur depuis le 24 août 2010.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1.221,55 USD, leur plancher de la veille, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.262,15 USD, leur plafond du 8 septembre 2010.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a ainsi révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant, alors que les experts pensaient qu'il demeurerait identique à sa première évaluation.
Cette déception a apaisé l'angoisse d'une réduction de la voilure du programme de rachats d'actifs de leur banque centrale dans les mois à venir.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, après quoi leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le volume des ventes de logements en cours.
Les cours avaient subi la semaine dernière avec 6,8% leur pire débandade hebdomadaire depuis septembre 2011, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, ait savamment attisé les rumeurs en affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La Banque Centrale Européenne avait auparavant répété que la fin de ses assouplissements n'était pas pour demain.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a en effet rappelé hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Le métal jaune bénéficie généralement des signes avant-coureurs d'apports de capitaux, en raison de l'angoisse qu'un excès de liquidités n'érode la valeur du papier monnaie.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 0,7% pour grimper à 18,74 USD de l'once, après avoir dégringolé de plus de 5% hier pour sombrer à 18,39 USD, leur pire valeur depuis le 25 août 2010.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 0,6% pour se retrouver à 3,059 USD la livre dans le même temps.
Elles avaient retrouvé des couleurs après qu'une étude officielle ait montré que les bénéfices des industries chinoises avaient bondi de 15,5% annualisés en mai, améliorant les 9,3% d'avril.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.
Les signes de maintien du cap de son homologue européenne ont également aplifié la tendance.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour août se sont échangés à 1.240,65 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0,8%.
Ils avaient auparavant culminé à 1.244,15 USD, leur meilleur cours du jour, avec une poussée de 1,1%.
La journée d'hier les avait bus dégringoler de plus de 4% pour toucher le fond à 1.221,55 USD, leur plus faible valeur depuis le 24 août 2010.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à court terme à 1.221,55 USD, leur plancher de la veille, et rencontrer de la résistance à court terme à 1.262,15 USD, leur plafond du 8 septembre 2010.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a ainsi révélé que leur produit intérieur brut avait gonflé de 1,8% annualisés entre début janvier et fin mars, après révision vers le bas des 2,4% avancés auparavant, alors que les experts pensaient qu'il demeurerait identique à sa première évaluation.
Cette déception a apaisé l'angoisse d'une réduction de la voilure du programme de rachats d'actifs de leur banque centrale dans les mois à venir.
Les évolutions constatées cette année ont largement suivi les espérances variables de fin prématurée de l'utilisation de sa planche à billets pour remplumer le système financier national.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, après quoi leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le volume des ventes de logements en cours.
Les cours avaient subi la semaine dernière avec 6,8% leur pire débandade hebdomadaire depuis septembre 2011, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, ait savamment attisé les rumeurs en affirmant mercredi que cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de liquidités avant que l'année soit achevée, au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La Banque Centrale Européenne avait auparavant répété que la fin de ses assouplissements n'était pas pour demain.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a en effet rappelé hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
Le métal jaune bénéficie généralement des signes avant-coureurs d'apports de capitaux, en raison de l'angoisse qu'un excès de liquidités n'érode la valeur du papier monnaie.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 0,7% pour grimper à 18,74 USD de l'once, après avoir dégringolé de plus de 5% hier pour sombrer à 18,39 USD, leur pire valeur depuis le 25 août 2010.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont empoché 0,6% pour se retrouver à 3,059 USD la livre dans le même temps.
Elles avaient retrouvé des couleurs après qu'une étude officielle ait montré que les bénéfices des industries chinoises avaient bondi de 15,5% annualisés en mai, améliorant les 9,3% d'avril.
Le pays garde sa première part mondiale des besoins de la planète en métal rouge, avec près de 40% l'année dernière.