Investing.com - La Bourse de Paris évoluait de 0,63% à mi-séance lundi, soutenue par la progression des valeurs financières alors que le marché attendait un accord entre la Grèce et ses créanciers.
Le représentant des créanciers privés de la Grèce a déclaré dimanche que ces derniers avaient atteint les limites des pertes qu'ils étaient prêts à concéder dans le cadre d'un échange de dette "volontaire", ajoutant que la balle était désormais dans le camp des bailleurs de fonds internationaux d'Athènes.
Les ministres des Finances de la zone euro devaient se réunir à Bruxelles, plus tard lundi, pour se prononcer sur les propositions des créanciers privés.
Les valeurs financières affichaient les plus fortes hausses de l’indice parisien. A mi-séance Société Générale grimpait de 7,07%, Crédit Agricole de 4,44% et BNP Paribas prenait 1,23%.
Par ailleurs, Alstom avançait de 2,88% alors que le titre figure parmi les valeurs préférées de Barclays dans le secteur européen des biens d'équipements avec une opinion à "surpondérer".
STMicroelectronics s’octroyait 0,36%. Le fabricant de semi-conducteurs devait publier ses comptes annuels après la clôture de Wall Street.
Dans le secteur automobile, Peugeot prenait 0,80% et Renault 1,01%.
Nomura estime que le secteur automobile européen dispose d'une marge de progression et que la faible valorisation des constructeurs semble injustifiée au regard des rendements record des fonds propres.
Enfin, Michelin s’adjugeait 0,37% alors que SG Cross Asset Research a fait du titre sa valeur européenne préférée dans le secteur des pneumatiques, anticipant un rattrapage de l'action après une fin 2011 décevante.
A l’inverse, les valeurs défensives cèdent du terrain à l'image de GDF Suez, qui perdait 2,72%, suivi de près par Veolia Environnement, en recul de 1,69%, et Air Liquide, en retrait de 0,95%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,81%, le DAX avançait de 0,62% et le Footsie 100 s’octroyait 0,77%.
Le représentant des créanciers privés de la Grèce a déclaré dimanche que ces derniers avaient atteint les limites des pertes qu'ils étaient prêts à concéder dans le cadre d'un échange de dette "volontaire", ajoutant que la balle était désormais dans le camp des bailleurs de fonds internationaux d'Athènes.
Les ministres des Finances de la zone euro devaient se réunir à Bruxelles, plus tard lundi, pour se prononcer sur les propositions des créanciers privés.
Les valeurs financières affichaient les plus fortes hausses de l’indice parisien. A mi-séance Société Générale grimpait de 7,07%, Crédit Agricole de 4,44% et BNP Paribas prenait 1,23%.
Par ailleurs, Alstom avançait de 2,88% alors que le titre figure parmi les valeurs préférées de Barclays dans le secteur européen des biens d'équipements avec une opinion à "surpondérer".
STMicroelectronics s’octroyait 0,36%. Le fabricant de semi-conducteurs devait publier ses comptes annuels après la clôture de Wall Street.
Dans le secteur automobile, Peugeot prenait 0,80% et Renault 1,01%.
Nomura estime que le secteur automobile européen dispose d'une marge de progression et que la faible valorisation des constructeurs semble injustifiée au regard des rendements record des fonds propres.
Enfin, Michelin s’adjugeait 0,37% alors que SG Cross Asset Research a fait du titre sa valeur européenne préférée dans le secteur des pneumatiques, anticipant un rattrapage de l'action après une fin 2011 décevante.
A l’inverse, les valeurs défensives cèdent du terrain à l'image de GDF Suez, qui perdait 2,72%, suivi de près par Veolia Environnement, en recul de 1,69%, et Air Liquide, en retrait de 0,95%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,81%, le DAX avançait de 0,62% et le Footsie 100 s’octroyait 0,77%.