Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, profitant des rumeurs grandissantes de réduction imminente des coups de pouce de son émettrice, à l'approche des informations portant sur l'immobilier là où il a cours.
En fin de première partie de séance européenne, il a cependant légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD frémissant de 0,03% pour prendre pied à 1,3359.
Mais il gardait des couleurs après que le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la Réserve Fédérale ait mis en relief mercredi des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "nuancés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
Le billet vert a aussi laissé l'avantage à la livre sterling, le GBP/USD se renforçant de 0,23% pour s'élever à 1,5621.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé le sourire après qu'il ait été mis en évidence une augmentation de 0,7% du produit intérieur brut du pays, dépassant légèrement les 0,6% envisagés.
Le bureau britannique des statistiques a ajouté dans une étude préliminaire que les entreprises avaient investi 0,9% supplémentaires au second trimestre, une bonne surprise au regard des 0,6% anticipés après le faux pas de 1,9% enregistré sur les trois premiers mois de l'année.
Il était aussi à noter que le volume national des prêts hypothécaires avait moins gonflé en juillet que prédit, ajoutant 37.200 GBP après les 37.300 précédents, au alors que 38.800 étaient pressentis pour la période considérée.
Le yen et le franc suisse ont toutefois subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,19% pour se hisser à 98,91 et l'USD/CHF grignotant 0,15% pour culminer à 0,9246.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,08% pour se retrouver à 0,8997, le NZD/USD se laissant arracher 0,39% pour toucher le fond à 0,7798 et l'USD/CAD prenant 0,38% pour monter à 1,0558.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,06% pour se situer à 81,55.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les chiffres des ventes de logements neufs.
En fin de première partie de séance européenne, il a cependant légèrement fléchi devant lui, l'EUR/USD frémissant de 0,03% pour prendre pied à 1,3359.
Mais il gardait des couleurs après que le compte-rendu de la prise de cap effectuée en juillet par la Réserve Fédérale ait mis en relief mercredi des décideurs "majoritairement d'accord" avec l'idée d'une réduction de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs.
Ils demeuraient cependant partagés au sujet du moment où celle-ci devrait avoir lieu, bien que presque tous aient indiqué que le moment n'était pas encore arrivé.
Il y était aussi indiqué que les résultats économiques étaient "nuancés", laissant entendre que le resserrage des boulons pourrait être encore retardé en cas de ralentissement.
Le billet vert a aussi laissé l'avantage à la livre sterling, le GBP/USD se renforçant de 0,23% pour s'élever à 1,5621.
La devise de la Grande-Bretagne a retrouvé le sourire après qu'il ait été mis en évidence une augmentation de 0,7% du produit intérieur brut du pays, dépassant légèrement les 0,6% envisagés.
Le bureau britannique des statistiques a ajouté dans une étude préliminaire que les entreprises avaient investi 0,9% supplémentaires au second trimestre, une bonne surprise au regard des 0,6% anticipés après le faux pas de 1,9% enregistré sur les trois premiers mois de l'année.
Il était aussi à noter que le volume national des prêts hypothécaires avait moins gonflé en juillet que prédit, ajoutant 37.200 GBP après les 37.300 précédents, au alors que 38.800 étaient pressentis pour la période considérée.
Le yen et le franc suisse ont toutefois subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0,19% pour se hisser à 98,91 et l'USD/CHF grignotant 0,15% pour culminer à 0,9246.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD cédant 0,08% pour se retrouver à 0,8997, le NZD/USD se laissant arracher 0,39% pour toucher le fond à 0,7798 et l'USD/CAD prenant 0,38% pour monter à 1,0558.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, engrangeait quand à lui 0,06% pour se situer à 81,55.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les chiffres des ventes de logements neufs.