Investing.com - L'euro était en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi, mais il demeurait friable en raison des incertitudes concernant les résultats des négociations visant à rsetructurer la dette grecque afin d'éviter un défaut de paiement.
En fin de première séance européenne, elle a fait fléchir le dollar U.S. avecc un couple EUR/USD grignotant 0.26% pour se hisser à 1.2966.
Les ministres des finances européens doivent en effet se rencontrer en cours de journée afin de discuter des termes du plan de rééchelonnement de la dette grecque.
Celui-ci est la condition sine qua non pour qu'Athènes bénéficie de la prochaine tranche d'aides financières et évite ainsi un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros d'obligations arriveront à terme le 20 mars.
Les créanciers de la Grèce ont quand à eux affirmé dimanche avoir emis leur dernière proposition d'échange d'obligations, et déclaré que la balle était désormais dans le camp et l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International, qui devront décider de l'accepter ou non.
La monnaie unique a aussi gagné du terrain à la livre sterling et à la valeur refuge du yen, l'EUR/GBP prenant 0.31% pour se hisser à 0.8328 et l'EUR/JPY arrachant 0.16% pour s'élever à 99.76.
Les perspectives de la devise britanniques demeuraient obscurcies par les rumeurs selon lesquelles la Banque d'Angleterre pourrait mettre en place de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire dès le mois prochain afin de stimuler une croissance nationale chancelante.
Elle a d'autre part résisté tant qu'elle pouvait au franc suisse, l'EUR/CHF trébuchant de 0.05% pour glisser à 1.2078.
Ses planchers historiques par rapport à ses homologues d'Australie et de Nouvelle-Zélande demeuraient dangereusement proches, l'EUR/AUD laissant échapper 0.12% pour dsecendre à 1.2315 et l'EUR/NZD fondant de 0.23% pour se retrouver à 1.6.
L'aussie n'avait guère été affecté par l'étude officielle montrant ce matin que les coûts de production australiens avaient augmenté au quatrième trimestre de manière inférieure aux prévisions, n'enflant que de 0.3% au lieu des 0.6% précédents.
Les experts s'étaient pourtant attendus à les voir prendre 0.4% sur la période considérée.
Il n'en a pas été de même avec le dollar canadien, l'EUR/CAD raflant 0.07% pour culminer à 1.311.
La Banque d'Espagne a pour sa part avoué en début de matinée s'attendre à ce que le produit intérieur brut du pays diminue de 1.5% en 2012, puis connaisse une "reprise modérée" de 0.2% en 2013.
En fin de première séance européenne, elle a fait fléchir le dollar U.S. avecc un couple EUR/USD grignotant 0.26% pour se hisser à 1.2966.
Les ministres des finances européens doivent en effet se rencontrer en cours de journée afin de discuter des termes du plan de rééchelonnement de la dette grecque.
Celui-ci est la condition sine qua non pour qu'Athènes bénéficie de la prochaine tranche d'aides financières et évite ainsi un défaut de paiement lorsque 14.4 milliards d'euros d'obligations arriveront à terme le 20 mars.
Les créanciers de la Grèce ont quand à eux affirmé dimanche avoir emis leur dernière proposition d'échange d'obligations, et déclaré que la balle était désormais dans le camp et l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International, qui devront décider de l'accepter ou non.
La monnaie unique a aussi gagné du terrain à la livre sterling et à la valeur refuge du yen, l'EUR/GBP prenant 0.31% pour se hisser à 0.8328 et l'EUR/JPY arrachant 0.16% pour s'élever à 99.76.
Les perspectives de la devise britanniques demeuraient obscurcies par les rumeurs selon lesquelles la Banque d'Angleterre pourrait mettre en place de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire dès le mois prochain afin de stimuler une croissance nationale chancelante.
Elle a d'autre part résisté tant qu'elle pouvait au franc suisse, l'EUR/CHF trébuchant de 0.05% pour glisser à 1.2078.
Ses planchers historiques par rapport à ses homologues d'Australie et de Nouvelle-Zélande demeuraient dangereusement proches, l'EUR/AUD laissant échapper 0.12% pour dsecendre à 1.2315 et l'EUR/NZD fondant de 0.23% pour se retrouver à 1.6.
L'aussie n'avait guère été affecté par l'étude officielle montrant ce matin que les coûts de production australiens avaient augmenté au quatrième trimestre de manière inférieure aux prévisions, n'enflant que de 0.3% au lieu des 0.6% précédents.
Les experts s'étaient pourtant attendus à les voir prendre 0.4% sur la période considérée.
Il n'en a pas été de même avec le dollar canadien, l'EUR/CAD raflant 0.07% pour culminer à 1.311.
La Banque d'Espagne a pour sa part avoué en début de matinée s'attendre à ce que le produit intérieur brut du pays diminue de 1.5% en 2012, puis connaisse une "reprise modérée" de 0.2% en 2013.