Investing.com - Le dollar U.S. restait encore largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, et ce bien que des résultats de source gouvernementale aient montré que les nouvelles inscriptions au chômage avaient baissé la semaine dernière aux Etats-Unis.
En seconde partie de séance européenne, il a un peu moins fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.34% pour grimper à 1.4175.
La Banque Centrale Européenne avait auparavant déclaré qu'elle n'annoncerait pas de nouvelles mesures d'injections de liquidités enfaveur des banques irlandaises.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD perdant 0.22% pour glisser à 1.6038.
La Nationwide Building Society avait en effet auparavant indiqué dans son rapport que les prix des habitations de Grande Bretagne avaient augmenté en mars pour le second mois consécutif, et ce de manière surprenante, l'étude trimestrielle de la Banque d'Angleterre sur les conditions d'obtention des crédits a quand à elle montré que celles-ci devraient légèrement s'assouplir dans les trois mois à venir.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY arrachant dérapant de 0.14% pour se retrouver à 82.77 et l'USD/CHF plongeant de 0.48% pour tomber à 0.914.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.04% pour aller vers 0.9705, l'AUD/USD sapant 0.05% pour monter à 1.0333 et le NZD/USD grignotant 0.05% pour culminer à 0.7625.
Des chiffres officiels avaient montré que le produit intérieur brut canadien avait largement comblé les attentes, prenant 0.5% après ajustement saisonnier pour janvier, taux auquel il était déjà monté lors du précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.22%.
Les Etats-Unis devraient publier en cours de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
Dans son rapport, le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage était descendu de 6 000 unités, pour se situer à 388 000 après ajustement saisonnier, alors que les experts s'étaient attendus à le voir régresser jusqu'à 380 000 sur la période considérée.
Les résultats préliminaires de la semaine précédente ont quand à eux dû être révisés à la hausse, passant de 382 000 à 394 000.
En seconde partie de séance européenne, il a un peu moins fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.34% pour grimper à 1.4175.
La Banque Centrale Européenne avait auparavant déclaré qu'elle n'annoncerait pas de nouvelles mesures d'injections de liquidités enfaveur des banques irlandaises.
Le billet vert a par contre gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD perdant 0.22% pour glisser à 1.6038.
La Nationwide Building Society avait en effet auparavant indiqué dans son rapport que les prix des habitations de Grande Bretagne avaient augmenté en mars pour le second mois consécutif, et ce de manière surprenante, l'étude trimestrielle de la Banque d'Angleterre sur les conditions d'obtention des crédits a quand à elle montré que celles-ci devraient légèrement s'assouplir dans les trois mois à venir.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY arrachant dérapant de 0.14% pour se retrouver à 82.77 et l'USD/CHF plongeant de 0.48% pour tomber à 0.914.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.04% pour aller vers 0.9705, l'AUD/USD sapant 0.05% pour monter à 1.0333 et le NZD/USD grignotant 0.05% pour culminer à 0.7625.
Des chiffres officiels avaient montré que le produit intérieur brut canadien avait largement comblé les attentes, prenant 0.5% après ajustement saisonnier pour janvier, taux auquel il était déjà monté lors du précédent.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de 6 de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.22%.
Les Etats-Unis devraient publier en cours de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
Dans son rapport, le département d'état au travail des Etats-Unis a en effet annoncé que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage était descendu de 6 000 unités, pour se situer à 388 000 après ajustement saisonnier, alors que les experts s'étaient attendus à le voir régresser jusqu'à 380 000 sur la période considérée.
Les résultats préliminaires de la semaine précédente ont quand à eux dû être révisés à la hausse, passant de 382 000 à 394 000.