Investing.com - Les options sur l'or ont conclu négativement, la désirabilité des valeurs relativement sûres comme le dollar U.S. se trouvant renforcée par les incertitudes entourant les tractations visant à éviter une catastrophe budgétaire américaine.
Les prix ont ainsi plongé jusqu'à 1 656.45 USD, cédant 0.45% lors de la dernière journée de cotation.
Les cours auront alors subi, avec 0.15% en moins, une cinquième semaine de recul successive plutôt monis grave que les précédenntes les échanges demeurant sporadiques en raison de nombreux congés.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 636.45 USD, leur plancher du 21 décembre, et rencontrer de la résistance à 1 672.75 USD, leur plafond de la veille.
Le mur fiscal menaçant la relance des Etats-Unis, qui découlerait de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires pour un total d'environ 600 milliards d'USD restait au centre des débats, à l'approche du premier janvier où il prendra effet, à moins que les deux factions trouvent un terrain d'entente sur la manière de juguler les déficits en douceur.
Le président américain Barack Obama avait rencontré l'après midi les chefs des différentes faction parlementaires à la Maison Blanche, mais aucun consensus n'a pu être dégagé malgré le spectre de la date fatidique.
Cette réunion s'était faite en la présence des réublicains John Boehner, chef de file du groupe de l'assemblée, en majorité, et de Mitch McConnell, à la tête de la minorité sénatoriale du parti, ainsi que de leurs homologues démocrates respectifs, Nancy Pelosi et Harry Reid.
Les députés et les sénateurs seront à nouveau en session ce dimanche afin de tenter d'arracher un accord de dernière minute.
En l'absence d'un terrain d'entente, un retour en récession national serait fortement probable, tirant le reste du monde vers le bas.
L'ambiance ne s'est pas améliorée après que les coûts des emprunts italiens soient légèrement remnotés lors d'enchères de bons du trésor à cinq et dix ans, en raison des incertitudes découlant des élections législatives de février.
Rome a ainsi écoulé pour 3 milliards d'euros d'obligations décennales à une taux moyen de 4.48 au lieu des 4.45% du mois précédent, tandis que les 2.87 milliards de quinquennales se situaient à 3.26 au lieu de 3.23%.
La nervosité se trouvait aussi attisée par la nouvelle selon laquelle l'économie française n'avait grignoté que 0.1% au troisième trimestre, au lieu des 0.2% espérés, tandis que des chiffres révisés confirmaient par contre que la seconde économie de la zone euro s'était rétractée de 0.1% lors du second, conformément aux évaluations préliminaires.
Cette ambiance frileuse poussait les opérateurs à bouder les valeurs plus risquées, comme les actions, les matières premières et les devises fortement rémunératrices, au profit des refuges traditionnels comme la monnaie et les bons du trésor des Etats-Unis.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a alors grimpé vendredi de 0.1% pour se situer à 79.79, sa plus forte valeur depuis le 14 décembre.
La force de la monnaie des Etats-Unis nuit généralement au métal précieux, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, diminuant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les près de 3.5% de dégringolade de ce mois-ci lui ont tout de même laissé prendre une avance annuelle de près de 5.5%, qui devrait le mener à sa douzième année positive d'affilée, grâce à une envolée du premier semestre dûe à des taux d'intérêt plancher et à la grande activité des planches a billets des banques centrales.
La semaine prochaine devrait voir le rapport de vendredi sur l'emploi des Etats-Unis faire des gorges chaudes, permettant aux observateurs de prendre le pouls la reprise économique du pays.
Tout signal positif ferait diminuer les attentes de nouveaux assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs chuté de 0.65% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 30.04 USD de l'once, sans évolution hebdomadaire notable.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles glissé de 0.65% lors de l'ultime session, pour fondre à 3.588 USD la livre, arrachant tout de même 0.66% au cours de la semaine.
Les prix ont ainsi plongé jusqu'à 1 656.45 USD, cédant 0.45% lors de la dernière journée de cotation.
Les cours auront alors subi, avec 0.15% en moins, une cinquième semaine de recul successive plutôt monis grave que les précédenntes les échanges demeurant sporadiques en raison de nombreux congés.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 1 636.45 USD, leur plancher du 21 décembre, et rencontrer de la résistance à 1 672.75 USD, leur plafond de la veille.
Le mur fiscal menaçant la relance des Etats-Unis, qui découlerait de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires pour un total d'environ 600 milliards d'USD restait au centre des débats, à l'approche du premier janvier où il prendra effet, à moins que les deux factions trouvent un terrain d'entente sur la manière de juguler les déficits en douceur.
Le président américain Barack Obama avait rencontré l'après midi les chefs des différentes faction parlementaires à la Maison Blanche, mais aucun consensus n'a pu être dégagé malgré le spectre de la date fatidique.
Cette réunion s'était faite en la présence des réublicains John Boehner, chef de file du groupe de l'assemblée, en majorité, et de Mitch McConnell, à la tête de la minorité sénatoriale du parti, ainsi que de leurs homologues démocrates respectifs, Nancy Pelosi et Harry Reid.
Les députés et les sénateurs seront à nouveau en session ce dimanche afin de tenter d'arracher un accord de dernière minute.
En l'absence d'un terrain d'entente, un retour en récession national serait fortement probable, tirant le reste du monde vers le bas.
L'ambiance ne s'est pas améliorée après que les coûts des emprunts italiens soient légèrement remnotés lors d'enchères de bons du trésor à cinq et dix ans, en raison des incertitudes découlant des élections législatives de février.
Rome a ainsi écoulé pour 3 milliards d'euros d'obligations décennales à une taux moyen de 4.48 au lieu des 4.45% du mois précédent, tandis que les 2.87 milliards de quinquennales se situaient à 3.26 au lieu de 3.23%.
La nervosité se trouvait aussi attisée par la nouvelle selon laquelle l'économie française n'avait grignoté que 0.1% au troisième trimestre, au lieu des 0.2% espérés, tandis que des chiffres révisés confirmaient par contre que la seconde économie de la zone euro s'était rétractée de 0.1% lors du second, conformément aux évaluations préliminaires.
Cette ambiance frileuse poussait les opérateurs à bouder les valeurs plus risquées, comme les actions, les matières premières et les devises fortement rémunératrices, au profit des refuges traditionnels comme la monnaie et les bons du trésor des Etats-Unis.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a alors grimpé vendredi de 0.1% pour se situer à 79.79, sa plus forte valeur depuis le 14 décembre.
La force de la monnaie des Etats-Unis nuit généralement au métal précieux, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant plus coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, diminuant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
Les près de 3.5% de dégringolade de ce mois-ci lui ont tout de même laissé prendre une avance annuelle de près de 5.5%, qui devrait le mener à sa douzième année positive d'affilée, grâce à une envolée du premier semestre dûe à des taux d'intérêt plancher et à la grande activité des planches a billets des banques centrales.
La semaine prochaine devrait voir le rapport de vendredi sur l'emploi des Etats-Unis faire des gorges chaudes, permettant aux observateurs de prendre le pouls la reprise économique du pays.
Tout signal positif ferait diminuer les attentes de nouveaux assouplissements de la part de la Réserve Fédérale.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs chuté de 0.65% lors de la dernière journée de cotation pour conclure à 30.04 USD de l'once, sans évolution hebdomadaire notable.
Celles sur le cuivre à échéance identique ont quand à elles glissé de 0.65% lors de l'ultime session, pour fondre à 3.588 USD la livre, arrachant tout de même 0.66% au cours de la semaine.