Investing.com - La livre sterling est retombée d'un pic de sept mois face au dollar U.S. ce jeudi matin, à l'approche des témoignages imminents des membres du conseil directeur de son émettrice.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5787 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5794, perdant 0?15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5717, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,5830, son plafond journalier le plus élevé depuis février.
La journée d'hier l'avait vue reprendre du poil de la bête par rapport à ses homologues européen et américain grâce à un recul inespéré du chômage à 7,7% pour juillet là où elle a cours.
Cette belle performance a du coup alimenté des rumeurs peu crédibles de remontée anticipée des taux de son émettrice, bien que Mark Carney, son nouveau gouverneur, ait réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plancher historique tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
La prudence restait cependant de mise avant sa comparution, ainsi que celle de ses collègues, devant le comité parlementaire chargé de la trésorerie.
Le billet vert subissait quand à lui toujours la déception causée par des créations de postes américaines inférieures aux espérances.
Celle-ci laissait peu de crédibilité à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD de rachats d'actifs mensuels lors de sa réunion des 17 et 18 septembre.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP n'arrachant que 0,04% pour se hisser à 0,8417.
Les observateurs guettaient désormais la prise de parole de Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ainsi que le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1,5787 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5794, perdant 0?15%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5717, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,5830, son plafond journalier le plus élevé depuis février.
La journée d'hier l'avait vue reprendre du poil de la bête par rapport à ses homologues européen et américain grâce à un recul inespéré du chômage à 7,7% pour juillet là où elle a cours.
Cette belle performance a du coup alimenté des rumeurs peu crédibles de remontée anticipée des taux de son émettrice, bien que Mark Carney, son nouveau gouverneur, ait réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plancher historique tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
La prudence restait cependant de mise avant sa comparution, ainsi que celle de ses collègues, devant le comité parlementaire chargé de la trésorerie.
Le billet vert subissait quand à lui toujours la déception causée par des créations de postes américaines inférieures aux espérances.
Celle-ci laissait peu de crédibilité à l'hypothèse selon laquelle la Réserve Fédérale commencerait à réduire l'ampleur de ses 85 millions d'USD de rachats d'actifs mensuels lors de sa réunion des 17 et 18 septembre.
La devise de la Grande-Bretagne a par ailleurs bien résisté à l'euro, l'EUR/GBP n'arrachant que 0,04% pour se hisser à 0,8417.
Les observateurs guettaient désormais la prise de parole de Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ainsi que le décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage des Etats-Unis.