Investing.com - Le dollar U.S. a pris l'avantage sur le franc suisse ce jeudi, l'atmosphère ayant été assombrie à l'approche de la prise de position très attendue de la Banque Centrale Européenne.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9512 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9506, gagnant 0,57%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à à 0,9444, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 0,9548, son plafond du 28 mars.
La BCE ne devrait vraisemblablement annoncer aucun bouleversement après sa prise de cap.
Mais la conférence de presse de son président Mario Draghi qui aura ensuite lieu sera décortiquée de près, sur fond de perspectives de croissances régionales peu réjouissantes et de crainte des conséquences du plan de sauvetage de Chypre.
La nervosité était exacerbée par l'augmentation modérée des coûts de emprunts de l'Espagne dans le sillage de son émission de bons du trésor à trois et cinq ans, la gestion de la crise européenne restant au centre des débats.
La devise helvète a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0,16% pour se hisser à 1,2163.
Le baromètre des directeurs achats du domaine tertiaire du bloc euro, établi par le groupe de recherches économiques Markit, a ainsi reculé depuis 46,5 vers 46,4, au lieu de stagner comme il avait été espéré.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prendre la parole.
La paire USD/CHF est montée jusqu'à 0,9512 en fin de première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 0,9506, gagnant 0,57%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à à 0,9444, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 0,9548, son plafond du 28 mars.
La BCE ne devrait vraisemblablement annoncer aucun bouleversement après sa prise de cap.
Mais la conférence de presse de son président Mario Draghi qui aura ensuite lieu sera décortiquée de près, sur fond de perspectives de croissances régionales peu réjouissantes et de crainte des conséquences du plan de sauvetage de Chypre.
La nervosité était exacerbée par l'augmentation modérée des coûts de emprunts de l'Espagne dans le sillage de son émission de bons du trésor à trois et cinq ans, la gestion de la crise européenne restant au centre des débats.
La devise helvète a par ailleurs cédé du terrain à l'euro, l'EUR/CHF grignotant 0,16% pour se hisser à 1,2163.
Le baromètre des directeurs achats du domaine tertiaire du bloc euro, établi par le groupe de recherches économiques Markit, a ainsi reculé depuis 46,5 vers 46,4, au lieu de stagner comme il avait été espéré.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prendre la parole.