Investing.com - L’indice-phare de la Bourse de Paris s’inscrivait dans le rouge mardi, affichant un repli de 0,42% à mi-séance, alors que les investisseurs restaient prudents avant le verdict de la cour constitutionnelle allemande sur la légalité du Mécanisme européen de stabilité (MES).
La cour allemande a confirmé mardi matin qu’elle rendrait bien sa décision mercredi, alors que des rumeurs circulaient plus tôt dans la journée au sujet d’un éventuel report du verdict.
Le marché guettait, par ailleurs, la réunion mensuelle de la Réserve fédérale américaine, dans l’espoir que la banque centrale annonce un troisième round d’assouplissement quantitatif afin de soutenir l’économie.
Sur le front des statistiques, l'emploi salarié a diminué de 0,1% en France au deuxième trimestre après une hausse de même ampleur au premier, selon l'Insee.
En Grande-Bretagne, le déficit du commerce extérieur s'est contracté à 7,14 milliards de livres en juillet, au plus bas depuis février, contre 10,068 milliards en juin.
Du côté des valeurs, le secteur du luxe a été affecté par les prévisions du groupe britannique Burberry, annonçant que ses résultats annuels seront dans le bas de la fourchette des prévisions du marché.
A mi-séance, LVMH abandonnait 4,42%, tandis que PPR reculait de 4,03%.
Egalement dans le rouge, Saint-Gobain perdait 2,37% en milieu de séance, et Lafarge cédait 1,62%, alors que Bank of America Merrill Lynch estime que les anticipations du consensus en termes de bénéfices risquent de s'avérer trop optimistes.
L'intermédiaire est passé à ‘sous-performance’ sur Saint-Gobain.
EADS cédait 0,22% à la mi-journée, effaçant les gains engrangés en début de séance, alors que le salon aéronautique de Berlin devait ouvrir ses portes mardi matin.
Selon le journal Les Echos, le président exécutif d’Airbus, Fabrice Brégier, estime que l’objectif des ventes de 30 A380 en 2012 sera difficile à atteindre.
Par ailleurs, les valeurs financières évoluaient en ordre dispersé en milieu de journée. Société Générale abandonnait 2,17% et Crédit Agricole pliait de 1,73%, tandis que BNP Paribas se distinguait en avançant de 0,10%.
Côté positif, Essilor International s’octroyait 0,95% à mi-séance, après que Jefferies a relevé son objectif de cours sur le titre de 56 à 68 euros, en maintenant sa recommandation à ‘conserver’.
Sanofi gagnait également du terrain mardi, en hausse de 1,77% en milieu de séance, après avoir présenté les résultats détaillés du premier essai de son vaccin contre la dengue.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 perdait 0,32%, le DAX cédait 0,16% et le Footsie 100 reculait de 0,50%.
Un seul indicateur américain était attendu dans l'après-midi: la balance commerciale de juillet.
La cour allemande a confirmé mardi matin qu’elle rendrait bien sa décision mercredi, alors que des rumeurs circulaient plus tôt dans la journée au sujet d’un éventuel report du verdict.
Le marché guettait, par ailleurs, la réunion mensuelle de la Réserve fédérale américaine, dans l’espoir que la banque centrale annonce un troisième round d’assouplissement quantitatif afin de soutenir l’économie.
Sur le front des statistiques, l'emploi salarié a diminué de 0,1% en France au deuxième trimestre après une hausse de même ampleur au premier, selon l'Insee.
En Grande-Bretagne, le déficit du commerce extérieur s'est contracté à 7,14 milliards de livres en juillet, au plus bas depuis février, contre 10,068 milliards en juin.
Du côté des valeurs, le secteur du luxe a été affecté par les prévisions du groupe britannique Burberry, annonçant que ses résultats annuels seront dans le bas de la fourchette des prévisions du marché.
A mi-séance, LVMH abandonnait 4,42%, tandis que PPR reculait de 4,03%.
Egalement dans le rouge, Saint-Gobain perdait 2,37% en milieu de séance, et Lafarge cédait 1,62%, alors que Bank of America Merrill Lynch estime que les anticipations du consensus en termes de bénéfices risquent de s'avérer trop optimistes.
L'intermédiaire est passé à ‘sous-performance’ sur Saint-Gobain.
EADS cédait 0,22% à la mi-journée, effaçant les gains engrangés en début de séance, alors que le salon aéronautique de Berlin devait ouvrir ses portes mardi matin.
Selon le journal Les Echos, le président exécutif d’Airbus, Fabrice Brégier, estime que l’objectif des ventes de 30 A380 en 2012 sera difficile à atteindre.
Par ailleurs, les valeurs financières évoluaient en ordre dispersé en milieu de journée. Société Générale abandonnait 2,17% et Crédit Agricole pliait de 1,73%, tandis que BNP Paribas se distinguait en avançant de 0,10%.
Côté positif, Essilor International s’octroyait 0,95% à mi-séance, après que Jefferies a relevé son objectif de cours sur le titre de 56 à 68 euros, en maintenant sa recommandation à ‘conserver’.
Sanofi gagnait également du terrain mardi, en hausse de 1,77% en milieu de séance, après avoir présenté les résultats détaillés du premier essai de son vaccin contre la dengue.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 perdait 0,32%, le DAX cédait 0,16% et le Footsie 100 reculait de 0,50%.
Un seul indicateur américain était attendu dans l'après-midi: la balance commerciale de juillet.