Investing.com - L'euro a vu son envolée face au dollar U.S. prendre fin ce lundi, retombant de son pic des six dernières semaines, les investisseurs le revendant afin d'assurer leurs gains et attendant les résultats des négociations visant à restructurer la dette grecque.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3136 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3156, perdant 0.47%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3077, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.3226, son plafond de six semaines datant d'aujourd'hui.
La monnaie unique a en effet pâli après que ses détenteurs l'aient abandonnée suite à son pic des six semaines passées, tandis que les négociations entre la Grèce et ses créanciers privés en vue d'un échange d'obligations traînaient en longueur et réduisaient l'attrait pour le risque.
Le moral des observateurs a également pris un coup après qu'Evangelos Venizelos, le ministre des finances grecques, ait refusé hier la proposition allemande de faire inspecter la politique budgétaire nationale par une commission de l'Union Européenne.
Wolfgang Schaeuble, ministre des finances germanique, a pour sa part déclaré ce matin dans le Wall Street Journal que la zone euro pourrait refuser d'accorder à la nation hellène la prochaine tranche d'aides de secours lui étant destinées si elle ne convainquait pas la région de sa capacité à mettre en oeuvre les engagements pris dans le cadre de plans de sauvetage.
La devise européenne a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.29% pour glisser à 0.838.
Les dirigeants de l'UE devraient pour leur part se réunir dans la journée à Bruxelles, et vraisemblablement donner la dernière main au Mécanisme de Stabilisation Européen, un fonds d'urgence permanent de 500 milliards d'euros, ainsi qu'à un pacte destiné à imposer des règles de contrôle des déficits de ses membres.
L'Italie mettra quand à elle pour 8 milliards d'euros de dettes à long terme en vente, après avoir été dégradée de deux crans vendredi par l'agence de notation Fitch.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1.3136 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3156, perdant 0.47%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3077, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.3226, son plafond de six semaines datant d'aujourd'hui.
La monnaie unique a en effet pâli après que ses détenteurs l'aient abandonnée suite à son pic des six semaines passées, tandis que les négociations entre la Grèce et ses créanciers privés en vue d'un échange d'obligations traînaient en longueur et réduisaient l'attrait pour le risque.
Le moral des observateurs a également pris un coup après qu'Evangelos Venizelos, le ministre des finances grecques, ait refusé hier la proposition allemande de faire inspecter la politique budgétaire nationale par une commission de l'Union Européenne.
Wolfgang Schaeuble, ministre des finances germanique, a pour sa part déclaré ce matin dans le Wall Street Journal que la zone euro pourrait refuser d'accorder à la nation hellène la prochaine tranche d'aides de secours lui étant destinées si elle ne convainquait pas la région de sa capacité à mettre en oeuvre les engagements pris dans le cadre de plans de sauvetage.
La devise européenne a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP trébuchant de 0.29% pour glisser à 0.838.
Les dirigeants de l'UE devraient pour leur part se réunir dans la journée à Bruxelles, et vraisemblablement donner la dernière main au Mécanisme de Stabilisation Européen, un fonds d'urgence permanent de 500 milliards d'euros, ainsi qu'à un pacte destiné à imposer des règles de contrôle des déficits de ses membres.
L'Italie mettra quand à elle pour 8 milliards d'euros de dettes à long terme en vente, après avoir été dégradée de deux crans vendredi par l'agence de notation Fitch.