Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce mercredi, alors que les observateurs restaient pessimistes quand aux progrès dans la résolution de la crise de la dette souveraine de la zone euro.
En première partie de séance européenne, l'euro a en effet fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.23% pour tomber à 1.3645.
L'angoisse causée par le surendettement européen s'est aggravée après que l'agence Moody's Investor Services ait rabaissé sa notation de deux des plus grosses banques françaises, invoquant leur surexposition aux dettes grecques.
George Papandreou, premier ministre hellène, devait tenir dans l'après-midi une conférence téléphonique avec Angela Merkel, la chancelière allemande et son homologue français au sujet de l'évolution de la situation dans son pays.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.18% pour chuter à 1.5754.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que le nombre des inscrits au chômage britannique avait moins augmenté en août qu'il n'avait été craint, et que le taux de chômage était resté comme prévu stable à 7.9%, tandis que l'augmentation de l'indice des revenus moyens dépassait les prévisions.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.04% pour reprendre pied à 76.91 et l'USD/CHF grignotant 0.18% pour culminer à 0.8819.
Des informations émanant du gouvernement helvétique avaient précédemment indiqué que l'inflation des prix à la production du pays avait davantage diminué que prévu pour le mois dernier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.64% pour monter à 0.9918, l'AUD/USD cédant 1.13% pour se retrouver à 1.0194 et le NZD/USD se laissant arracher 0.65% pour toucher le fond à 0.8173.
Le net déclin australien faisait suite à une révision à la baisse des chiffres de l'inflation du second trimestre, le bureau australien des statistiques révélant que l'inflation de base s'était située à 0.6% entre le premier et le second, au lieu des 0.9% avancés fin juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.27% pour se ssituer à 77.79.
Les Etats-Unis feront aujourd'hui connaître leur inflation des prix à la production et le volume de leurs ventes au détail mesuré par leurs autorités.
En première partie de séance européenne, l'euro a en effet fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.23% pour tomber à 1.3645.
L'angoisse causée par le surendettement européen s'est aggravée après que l'agence Moody's Investor Services ait rabaissé sa notation de deux des plus grosses banques françaises, invoquant leur surexposition aux dettes grecques.
George Papandreou, premier ministre hellène, devait tenir dans l'après-midi une conférence téléphonique avec Angela Merkel, la chancelière allemande et son homologue français au sujet de l'évolution de la situation dans son pays.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.18% pour chuter à 1.5754.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que le nombre des inscrits au chômage britannique avait moins augmenté en août qu'il n'avait été craint, et que le taux de chômage était resté comme prévu stable à 7.9%, tandis que l'augmentation de l'indice des revenus moyens dépassait les prévisions.
Il a toutefois subi la pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.04% pour reprendre pied à 76.91 et l'USD/CHF grignotant 0.18% pour culminer à 0.8819.
Des informations émanant du gouvernement helvétique avaient précédemment indiqué que l'inflation des prix à la production du pays avait davantage diminué que prévu pour le mois dernier.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.64% pour monter à 0.9918, l'AUD/USD cédant 1.13% pour se retrouver à 1.0194 et le NZD/USD se laissant arracher 0.65% pour toucher le fond à 0.8173.
Le net déclin australien faisait suite à une révision à la baisse des chiffres de l'inflation du second trimestre, le bureau australien des statistiques révélant que l'inflation de base s'était située à 0.6% entre le premier et le second, au lieu des 0.9% avancés fin juillet.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.27% pour se ssituer à 77.79.
Les Etats-Unis feront aujourd'hui connaître leur inflation des prix à la production et le volume de leurs ventes au détail mesuré par leurs autorités.