Investing.com - Le dollar U.S. restait en forme face à la plupart de ses concurrents ce lundi après-midi, alors que les observateurs attendant les résultats des négociations sur les échanges de dettes grecques et le sommet de l'Union Européenne attendu dans la journée.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.74% pour tomber à 1.3121.
La monnaie unique s'est trouvée abandonnée par des détenteurs désireux de profiter de son pic des six dernières semaines, l'éternisation des négociations avec les créanciers privés concernant le plan d'échange de dettes de la Grèce continuant de nuire à l'audace.
Celui-ci est indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides de secours et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'elle devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
Les investisseurs demeuraient échaudés tandis que les dirigeants de l'Union Européenne prévoyaient pour leur part de se réunir dans la journée afin de régler les derniers détails de la mise en place du pacte de contrôle des déficits et du fonds d'urgence permanent disposant de 500 milliards d'euros devant être lancé cette année.
Elle a toutefois retrouvé des couleurs après que l'Italie ait réussi à émettre pour 7.48 milliards d'euros de dettes à long terme, à des taux inférieurs à ceux constatés lors d'un évènement similaire le mois dernier.
Les coûts des assurances sur les emprunts décennaux portugais avaient par contre encore battu ce matin tous les records depuis la mise en place de la monnaie unique, ravivant l'angoisse selon laquelle le pays pourrait devoir recourir à un second plan de sauvetage international.
Le billet vert gagnait cependant moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.2% pour chuter à 1.5696.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait sur la sellette en raison des rumeurs selon lesquelles la Banque d'Angleterre pourrait mettre en place de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire, afin de renflouer une croissance chancelante.
Il a toutefois subi une légère pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.05% pour glisser à 76.66 et l'USD/CHF grignotant 0.66% pour culminer à 0.9188.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.35% pour monter à 1.0053, l'AUD/USD cédant 1% pour se retrouver à 1.055 et le NZD/USD se laissant arracher 0.85% pour toucher le fond à 0.8176.
Le dollar australien s'est retrouvé en posture difficile après que les quatre plus grosses banques du pays aient été placées sous une surveillance négative par l'agence de notation Fitch Ratings, estimant que leur capitalisation était plus fragile que celle de leurs collègues.
Elle a toutefois précisé que toute dégradation devrait probablement rester limitée à un cran.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.56% pour se situer à 79.39.
Les autorités des Etats-Unis devraient quand à elles dévoiler aujourd'hui le volume des dépenses individuelles ainsi que l'indice des prix au détail.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.74% pour tomber à 1.3121.
La monnaie unique s'est trouvée abandonnée par des détenteurs désireux de profiter de son pic des six dernières semaines, l'éternisation des négociations avec les créanciers privés concernant le plan d'échange de dettes de la Grèce continuant de nuire à l'audace.
Celui-ci est indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides de secours et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'elle devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
Les investisseurs demeuraient échaudés tandis que les dirigeants de l'Union Européenne prévoyaient pour leur part de se réunir dans la journée afin de régler les derniers détails de la mise en place du pacte de contrôle des déficits et du fonds d'urgence permanent disposant de 500 milliards d'euros devant être lancé cette année.
Elle a toutefois retrouvé des couleurs après que l'Italie ait réussi à émettre pour 7.48 milliards d'euros de dettes à long terme, à des taux inférieurs à ceux constatés lors d'un évènement similaire le mois dernier.
Les coûts des assurances sur les emprunts décennaux portugais avaient par contre encore battu ce matin tous les records depuis la mise en place de la monnaie unique, ravivant l'angoisse selon laquelle le pays pourrait devoir recourir à un second plan de sauvetage international.
Le billet vert gagnait cependant moins de terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.2% pour chuter à 1.5696.
La devise de la Grande-Bretagne demeurait sur la sellette en raison des rumeurs selon lesquelles la Banque d'Angleterre pourrait mettre en place de nouvelles mesures d'assouplissement monétaire, afin de renflouer une croissance chancelante.
Il a toutefois subi une légère pression du yen, mais pas du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.05% pour glisser à 76.66 et l'USD/CHF grignotant 0.66% pour culminer à 0.9188.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.35% pour monter à 1.0053, l'AUD/USD cédant 1% pour se retrouver à 1.055 et le NZD/USD se laissant arracher 0.85% pour toucher le fond à 0.8176.
Le dollar australien s'est retrouvé en posture difficile après que les quatre plus grosses banques du pays aient été placées sous une surveillance négative par l'agence de notation Fitch Ratings, estimant que leur capitalisation était plus fragile que celle de leurs collègues.
Elle a toutefois précisé que toute dégradation devrait probablement rester limitée à un cran.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.56% pour se situer à 79.39.
Les autorités des Etats-Unis devraient quand à elles dévoiler aujourd'hui le volume des dépenses individuelles ainsi que l'indice des prix au détail.