Investing.com - Le dollar U.S. n'a que peu évolué face à la plupart de ses concurrents ce lundi, les résultats décevants de l'emploi américain de vendredi, alimentant l'angoisse d'un ralentissement de l'économie mondiale, tandis que les nuages menaçant l'Europe nuisaient au moral des investisseurs.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, à portée de tir d'un creux de près de deux ans, l'EUR/USD perdant 0.12% pour tomber à 1.242.
L'économie américaine n'a en effet créé que 69 000 postes en mai, une performance nettement inférieure aux 150 000 escomptés, tandis que le taux de chômage s'élevait depuis 8.1 vers 8.2%.
Ces résultats décevants ont conforté l'idée que la reprise américaine était en perte de vitesse, alimentant les rumeurs faisant état de l'imminence d'une troisième série d'assouplissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale.
Mais la popularité de la monnaie unique demeurait écornée, dans l'angoisse que les coûts élevés des emprunts de l'Espagne ne la poussent à demander de l'aide financière à l'étranger afin de l'aider à sauver un secteur bancaire en pleine déconfiture.
Il a d'autre part été montré ce matin que l'indice Sentix de la confiance des investisseurs de la zone euro avait plongé ce mois-ci à son plus bas niveau depuis juillet 2009.
Le billet vert a par contre cédé quelquees pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD trébuchant de 0.03% pour chuter à 1.5467.
Les volumes des transactions devraient toutefois être faibles en ce jour férié pour les places boursières britanniques.
Il s'est par contre rennforcé face au yen, l'USD/JPY grimpant de 0.01% pour se hisser à 78.01.
Ce dernier demeurait soutenu après que le gouverneur de la Banque du Japon ait déclaré en début de matinée que celle-ci surveillait de près les conséquences de l'avancée récente de la devise nippone sur une économie largement tournée vers l'export, tout en évitant d'annoncer si de nouveaux assouplissements monétaires étaient prévus à court terme.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.08% pour culminer à 0.9667.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.08% pour monter à 1.0419, l'AUD/USD cédant 0.31% pour se retrouver à 0.9669 et le NZD/USD se laissant arracher 0.13% pour toucher le fond à 0.7536.
Des informations officielles avaient auparavant signalé que les bénéfices des entreprises d'Australie avaient fondu de 4% au premier trimestre, avec notamment 13% d'hémorrhagie minière et 10% dans le secteur secondaire, et ce alors que les experts ne redoutaient que 2.1% de diminution.
Il était aussi à noter que le nombre des offres d'emploi publiées dans le pays avait drapé de 2.4% le mois dernier, aggravant les 0.8% précédents.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.07% pour se situer à 82.97.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux dévoiler dans l'après-midi le volume officiel des commandes passées auprès de leurs usines.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, à portée de tir d'un creux de près de deux ans, l'EUR/USD perdant 0.12% pour tomber à 1.242.
L'économie américaine n'a en effet créé que 69 000 postes en mai, une performance nettement inférieure aux 150 000 escomptés, tandis que le taux de chômage s'élevait depuis 8.1 vers 8.2%.
Ces résultats décevants ont conforté l'idée que la reprise américaine était en perte de vitesse, alimentant les rumeurs faisant état de l'imminence d'une troisième série d'assouplissements quantitatifs de la part de la Réserve Fédérale.
Mais la popularité de la monnaie unique demeurait écornée, dans l'angoisse que les coûts élevés des emprunts de l'Espagne ne la poussent à demander de l'aide financière à l'étranger afin de l'aider à sauver un secteur bancaire en pleine déconfiture.
Il a d'autre part été montré ce matin que l'indice Sentix de la confiance des investisseurs de la zone euro avait plongé ce mois-ci à son plus bas niveau depuis juillet 2009.
Le billet vert a par contre cédé quelquees pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD trébuchant de 0.03% pour chuter à 1.5467.
Les volumes des transactions devraient toutefois être faibles en ce jour férié pour les places boursières britanniques.
Il s'est par contre rennforcé face au yen, l'USD/JPY grimpant de 0.01% pour se hisser à 78.01.
Ce dernier demeurait soutenu après que le gouverneur de la Banque du Japon ait déclaré en début de matinée que celle-ci surveillait de près les conséquences de l'avancée récente de la devise nippone sur une économie largement tournée vers l'export, tout en évitant d'annoncer si de nouveaux assouplissements monétaires étaient prévus à court terme.
Il en était de même avec le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.08% pour culminer à 0.9667.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.08% pour monter à 1.0419, l'AUD/USD cédant 0.31% pour se retrouver à 0.9669 et le NZD/USD se laissant arracher 0.13% pour toucher le fond à 0.7536.
Des informations officielles avaient auparavant signalé que les bénéfices des entreprises d'Australie avaient fondu de 4% au premier trimestre, avec notamment 13% d'hémorrhagie minière et 10% dans le secteur secondaire, et ce alors que les experts ne redoutaient que 2.1% de diminution.
Il était aussi à noter que le nombre des offres d'emploi publiées dans le pays avait drapé de 2.4% le mois dernier, aggravant les 0.8% précédents.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.07% pour se situer à 82.97.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux dévoiler dans l'après-midi le volume officiel des commandes passées auprès de leurs usines.