Investing.com - Le dollar U.S. a retrouvé des couleurs face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après-midi, la bonne surprise des chiffres de l'emploi aux Etats-Unis ayant limité l'attente de nouveaux accomodements de la part de la Réserve Fédérale.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.1% pour descendre à 1.229.
Il a en effet redressé la tête après que l'agence américaine de gestion des ressources humaines ADP ait fait savoir que 163 000 personnes avaient été embauchées en juillet, dépassant ainsi les 120 000 embauches espérées.
Les 176 000 préalablement estimés de juin ont par contre dû être revus à la baisse vers 172 000.
Cette bonne performance a nettement diminué les chances pour que la Réserve Fédérale lance une série d'injections de liquidités supplémentaires imminentes, à l'approche de sa réunion de la fin de journée.
La monnaie unique demeurait toutefois soutenue par la persistance de l'espoir que la Banque Centrale Européenne dévoile pour son conseil de jeudi des actions décisives dans la lutte contre la crise de la dette régionale.
La livre sterling lui a aussi cédé du terrain, le GBP/USD ployant de 0.37% pour glisser à 1.5618, après qu'il ait été révélé que le secteur manufacturier britannique avait subi en juillet un revers dépassant les craintes.
Elle s'est retrouvée sur la sellette après que l'indice des directeurs des achats dans le domaine manufacturier du Royaume-Uni, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS soit tombé de 48.4 après révision à la baisse vers 45.4, pour juillet, sa pire valeur depuis mars 2009 alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 48.7.
Ces mauvaises performances ont alimenté l'espoir de nouveaux accomodements de la part de la Banque d'Angleterre dans les mois à venir, après qu'il ait déjà été souligné la semaine passée que l'économie nationale avait subi d'avril à juin son troisième trimestre de recul d'affilée, marquant ainsi neuf mois de récession consécutifs.
Un rapport avait auparavant signalé ce matin que les prix des logements du Royaume-Uni avaient subi en juillet leur pire revers annuel en près de trois ans.
Le yen et le franc suisse ont également subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0.09% pour se retrouver à 78.19, et un peu plus celle du franc suisse, l'USD/CHF arrachant 0.06% pour grimper à 0.9768.
La monnaie des Etats-Unis est par ailleurs restée dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.16% pour aller vers 1.0013, l'AUD/USD raflant 0.18% pour monter à 1.0523 et le NZD/USD engrangeant 0.44% pour culminer à 0.8123.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a frémi de 0.01% pour s'élever à 82.73.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait pour sa part publier dans l'après-midi une étude sur l'activité dans le domaine manufacturier.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD trébuchant de 0.1% pour descendre à 1.229.
Il a en effet redressé la tête après que l'agence américaine de gestion des ressources humaines ADP ait fait savoir que 163 000 personnes avaient été embauchées en juillet, dépassant ainsi les 120 000 embauches espérées.
Les 176 000 préalablement estimés de juin ont par contre dû être revus à la baisse vers 172 000.
Cette bonne performance a nettement diminué les chances pour que la Réserve Fédérale lance une série d'injections de liquidités supplémentaires imminentes, à l'approche de sa réunion de la fin de journée.
La monnaie unique demeurait toutefois soutenue par la persistance de l'espoir que la Banque Centrale Européenne dévoile pour son conseil de jeudi des actions décisives dans la lutte contre la crise de la dette régionale.
La livre sterling lui a aussi cédé du terrain, le GBP/USD ployant de 0.37% pour glisser à 1.5618, après qu'il ait été révélé que le secteur manufacturier britannique avait subi en juillet un revers dépassant les craintes.
Elle s'est retrouvée sur la sellette après que l'indice des directeurs des achats dans le domaine manufacturier du Royaume-Uni, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS soit tombé de 48.4 après révision à la baisse vers 45.4, pour juillet, sa pire valeur depuis mars 2009 alors que les experts redoutaient déjà de le voir descendre à 48.7.
Ces mauvaises performances ont alimenté l'espoir de nouveaux accomodements de la part de la Banque d'Angleterre dans les mois à venir, après qu'il ait déjà été souligné la semaine passée que l'économie nationale avait subi d'avril à juin son troisième trimestre de recul d'affilée, marquant ainsi neuf mois de récession consécutifs.
Un rapport avait auparavant signalé ce matin que les prix des logements du Royaume-Uni avaient subi en juillet leur pire revers annuel en près de trois ans.
Le yen et le franc suisse ont également subi sa pression, l'USD/JPY grignotant 0.09% pour se retrouver à 78.19, et un peu plus celle du franc suisse, l'USD/CHF arrachant 0.06% pour grimper à 0.9768.
La monnaie des Etats-Unis est par ailleurs restée dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.16% pour aller vers 1.0013, l'AUD/USD raflant 0.18% pour monter à 1.0523 et le NZD/USD engrangeant 0.44% pour culminer à 0.8123.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a frémi de 0.01% pour s'élever à 82.73.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait pour sa part publier dans l'après-midi une étude sur l'activité dans le domaine manufacturier.