Investing.com - Le dollar U.S. était en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi, après avoir rebondi face au yen en début de semaine, tandis que l'euro ne se trouvait pas bouleversé par des résultats européens mitigés.
En fin première partie de séance européenne, le yen a fortement fléchi devant lui, l'USD/JPY bondissant de 1.02% pour grimper à 89.51.
La devise nippone a en effet des plumes après que Takehiko Nakao, vice-ministre des finances, ait déclaré dans un entretien auprès du Wall Street Journal que le gouvernement surveillait ses évolutions de très près, demeurant prêt à intervenir en cas de besoin.
Cette tendance s'est accentuée après qu'il ait été montré à l'aube que le déficit annualisé du commerce extérieur national avait atteint le mois passé un record de 6.93 billions de JPY, les exportations dérapant de 5.8% d'une année sur l'autre.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.3316.
Les statistiques d'activité de la part de l'Allemagne et du bloc ayant adopté la monnaie unique étaient plutôt positives, mais les informations concernant la France laissaient à redouter que la seconde économie régionale soit retombée en récession.
Il a en effet été révélé que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers germaniques était remonté de 46 vers 48.8 pour janvier, demeurant toutefois au-dessous des 50 dénotant une croissance du secteur.
Son équivalent tertiaire est quand à lui passé des 52 finaux de décembre à 55.3 dans le même temps, sa meilleure performance en plus d'un an.
Celui de la région entière a redressé la tête depuis 46.1 vers 47.5 pour ce mois-ci, son plus haut niveau en dix mois, et celui de ses services a aussi grimpé depuis les 47.8 finaux de décembre pour se retrouver à 48.3 pour la même période, au lieu des 48.1 espérés.
Celui des usines françaises a par contre plongé à 42.9, son plus bas niveau en quatre mois, tandis que celui des services se situait à 43.6.
Le billet vert a toutefois quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.08% pour chuter à 1.5831, aux abords d'un creux de cinq mois.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0.13% pour culminer à 0.9305.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.02% pour monter à 0.9991, l'AUD/USD cédant 0.45% pour se retrouver à 1.0507 et le NZD/USD se laissant arracher 0.09% pour toucher le fond à 0.8415.
Les devises fortement liées aux matières premières avaient pourtant retrouvé le sourire après qu'il ait été annoncé à l'aube que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers établi par HSBC pour la Chine était remonté depuis une valeur finale de 51.5 jusqu'à 51.9 pour ce mois-ci, son meilleur niveau en deux ans.
Cette bonne nouvelle est venue confirmer les signes relance de la seconde économie mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.17% pour se situer à 80.13.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des demandeurs d'emploi nouvellement inscrits.
En fin première partie de séance européenne, le yen a fortement fléchi devant lui, l'USD/JPY bondissant de 1.02% pour grimper à 89.51.
La devise nippone a en effet des plumes après que Takehiko Nakao, vice-ministre des finances, ait déclaré dans un entretien auprès du Wall Street Journal que le gouvernement surveillait ses évolutions de très près, demeurant prêt à intervenir en cas de besoin.
Cette tendance s'est accentuée après qu'il ait été montré à l'aube que le déficit annualisé du commerce extérieur national avait atteint le mois passé un record de 6.93 billions de JPY, les exportations dérapant de 5.8% d'une année sur l'autre.
Il n'en était pas de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0.02% pour descendre à 1.3316.
Les statistiques d'activité de la part de l'Allemagne et du bloc ayant adopté la monnaie unique étaient plutôt positives, mais les informations concernant la France laissaient à redouter que la seconde économie régionale soit retombée en récession.
Il a en effet été révélé que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers germaniques était remonté de 46 vers 48.8 pour janvier, demeurant toutefois au-dessous des 50 dénotant une croissance du secteur.
Son équivalent tertiaire est quand à lui passé des 52 finaux de décembre à 55.3 dans le même temps, sa meilleure performance en plus d'un an.
Celui de la région entière a redressé la tête depuis 46.1 vers 47.5 pour ce mois-ci, son plus haut niveau en dix mois, et celui de ses services a aussi grimpé depuis les 47.8 finaux de décembre pour se retrouver à 48.3 pour la même période, au lieu des 48.1 espérés.
Celui des usines françaises a par contre plongé à 42.9, son plus bas niveau en quatre mois, tandis que celui des services se situait à 43.6.
Le billet vert a toutefois quelques pouces de terrain à la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.08% pour chuter à 1.5831, aux abords d'un creux de cinq mois.
Le franc suisse a aussi subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0.13% pour culminer à 0.9305.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.02% pour monter à 0.9991, l'AUD/USD cédant 0.45% pour se retrouver à 1.0507 et le NZD/USD se laissant arracher 0.09% pour toucher le fond à 0.8415.
Les devises fortement liées aux matières premières avaient pourtant retrouvé le sourire après qu'il ait été annoncé à l'aube que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers établi par HSBC pour la Chine était remonté depuis une valeur finale de 51.5 jusqu'à 51.9 pour ce mois-ci, son meilleur niveau en deux ans.
Cette bonne nouvelle est venue confirmer les signes relance de la seconde économie mondiale.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.17% pour se situer à 80.13.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre dans l'après-midi leur décompte hebdomadaire des demandeurs d'emploi nouvellement inscrits.