Investing.com - Le dollar U.S. bétonnait face à la plupart de ses concurrents ce mardi après-midi, bénéficiant d'une regain de forme contre son homologue de Grande-Bretagne.
En seconde partie de séance européenne, il s'est élancé vers un sommet de sept semaines par rapport à la livre sterling, le GBP/USD sombrant de 0,76% après qu'il ait été montré que l'inflation au détail avait plongé le mois passé pour la première fois depuis septembre là où elle a cours.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a en effet constaté que l'augmentation des prix à la consommation d'une année sur l'autre étaient passée de 2,8% à 2,4% pour avril, au lieu des 2,6% attendus.
Elle se situait à seulement 0,2% d'un mois sur l'autre, alors que 0,4% étaient pressentis suite aux 0,3% précédents.
Ce ralentissement de l'inflation devrait laisser à Mark Carney, prochain gouverneur de la Banque d'Angleterre, les coudées franches afin de mettre en place des mesures susceptibels de donner un coup de fouet à la relance nationale.
Il a aussi rattrapé presque toutes les pertes infligées hier par le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,50% pour se hisser à 102,77.
Le billet vert demeurait populaire, les yeux étant braqués pour demain sur le témoignage que le chef de la banque centrale américaine produira devant le comité économique parlementaire, et la publication du compte-rendu du plus récent conseil d'orientation de celle-ci.
Les observateurs sont en effet à l'affût du moindre signe pouvant laisser envisager une réduction de son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année, au vu des signaux positifs émis par l'économie nationale.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,12% pour reprendre pied à 1,2867.
La Bundesbank allemande avait déclaré en fin de matinée espérer une croissance plus forte au second trimestre, précisant cependant que les difficultés rencontrées dans le reste du bloc euro entrâinaient un risque "significatif".
Il avait été signalé la semaine passée que l'économie de l'Allemagne avait connu une expansion de 0,1% entre début janvier et fin mars, tandis que celle du reste de la région se rétractait de 0,2%.
Le franc suisse aussi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,24% pour culminer à 0,9691.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD se laissant arracher 0,24% pour se retrouver à 0,9781, le NZD/USD sombrant de 0,30% pour toucher le fond à 0,8146 et l'USD/CAD prenant 0,33% pour monter à 1,0275.
Il avait été signalé à l'aube dans le récit détaillé de la réunion du comité directeur de la Réserve Bancaire d'Australie ayant eu lieu ce mois-ci que la faiblesse de l'inflation, l'affaiblissement de la croissance économique et la force de la devise nationale lui permettaient d'avoir les coudées franches pour raboter de nouveau ses taux d'intérêt.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,28% pour se situer à 84,15.
En seconde partie de séance européenne, il s'est élancé vers un sommet de sept semaines par rapport à la livre sterling, le GBP/USD sombrant de 0,76% après qu'il ait été montré que l'inflation au détail avait plongé le mois passé pour la première fois depuis septembre là où elle a cours.
Le bureau des statistiques du Royaume-Uni a en effet constaté que l'augmentation des prix à la consommation d'une année sur l'autre étaient passée de 2,8% à 2,4% pour avril, au lieu des 2,6% attendus.
Elle se situait à seulement 0,2% d'un mois sur l'autre, alors que 0,4% étaient pressentis suite aux 0,3% précédents.
Ce ralentissement de l'inflation devrait laisser à Mark Carney, prochain gouverneur de la Banque d'Angleterre, les coudées franches afin de mettre en place des mesures susceptibels de donner un coup de fouet à la relance nationale.
Il a aussi rattrapé presque toutes les pertes infligées hier par le yen, l'USD/JPY grimpant de 0,50% pour se hisser à 102,77.
Le billet vert demeurait populaire, les yeux étant braqués pour demain sur le témoignage que le chef de la banque centrale américaine produira devant le comité économique parlementaire, et la publication du compte-rendu du plus récent conseil d'orientation de celle-ci.
Les observateurs sont en effet à l'affût du moindre signe pouvant laisser envisager une réduction de son programme d'acquisitions d'actifs dès cette année, au vu des signaux positifs émis par l'économie nationale.
Il en était de même avec l'euro, l'EUR/USD trébuchant de 0,12% pour reprendre pied à 1,2867.
La Bundesbank allemande avait déclaré en fin de matinée espérer une croissance plus forte au second trimestre, précisant cependant que les difficultés rencontrées dans le reste du bloc euro entrâinaient un risque "significatif".
Il avait été signalé la semaine passée que l'économie de l'Allemagne avait connu une expansion de 0,1% entre début janvier et fin mars, tandis que celle du reste de la région se rétractait de 0,2%.
Le franc suisse aussi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0,24% pour culminer à 0,9691.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs nettement dominé ses cousines australienne, néo-zélandaise et canadienne, l'AUD/USD se laissant arracher 0,24% pour se retrouver à 0,9781, le NZD/USD sombrant de 0,30% pour toucher le fond à 0,8146 et l'USD/CAD prenant 0,33% pour monter à 1,0275.
Il avait été signalé à l'aube dans le récit détaillé de la réunion du comité directeur de la Réserve Bancaire d'Australie ayant eu lieu ce mois-ci que la faiblesse de l'inflation, l'affaiblissement de la croissance économique et la force de la devise nationale lui permettaient d'avoir les coudées franches pour raboter de nouveau ses taux d'intérêt.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0,28% pour se situer à 84,15.