Investing.com - La livre sterling demeurait en berne face au dollar U.S. ce lundi, les angoisses liées à la lenteur de progression des pourparlers visant un échange des dettes grecques pesant sur l'atmosphère à l'approche du sommet de l'Union Européenne prévu dans la journée.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5654 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5683, perdant 0.27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5531, son plancher du 25 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.5733, son plafond de presque cinq semaines atteint aujourd'hui.
Les dirigeants de l'Union Européenne prévoyaient en effet de se réunir dans la journée afin de régler les derniers détails de la mise en place du pacte de contrôle des déficits et du fonds d'urgence permanent disposant de 500 milliards d'euros devant être lancé cette année.
L'éternisation des négociations avec les créanciers privés concernant le plan de rééchelonnement du fardeau financier de la Grèce continuait aussi à nuire à la confiance.
Celui-ci est indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides de secours et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'elle devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
Il a toutefois retrouvé des couleurs après que l'Italie ait réussi à émettre pour 7.48 milliards d'euros de dettes à long terme, à des taux inférieurs à ceux constatés lors d'un évènement similaire le mois dernier.
Cette adjudication constituait un test crucial de la capacité du pays à lever des fonds sur le marché international, après avoir pourtant été dégradée de deux crans vendredi par l'agence de notation Fitch Ratings.
Les coûts des assurances sur les emprunts décennaux portugais ont cependant encore battu ce matin tous les records depuis la mise en place de la monnaie unique, ravivant l'angoisse selon laquelle le pays pourrait devoir recourir à un second plan de sauvetage international.
La livre sterling a toutefois gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP laissant échapper 0.59% pour sombrer à 0.8357.
Les autorités des Etats-Unis comptaient quand à elles dévoiler aujourd'hui le volume des dépenses individuelles ainsi que l'indice des prix au détail.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5654 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5683, perdant 0.27%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5531, son plancher du 25 janvier, et de rencontrer de la résistance à 1.5733, son plafond de presque cinq semaines atteint aujourd'hui.
Les dirigeants de l'Union Européenne prévoyaient en effet de se réunir dans la journée afin de régler les derniers détails de la mise en place du pacte de contrôle des déficits et du fonds d'urgence permanent disposant de 500 milliards d'euros devant être lancé cette année.
L'éternisation des négociations avec les créanciers privés concernant le plan de rééchelonnement du fardeau financier de la Grèce continuait aussi à nuire à la confiance.
Celui-ci est indispensable pour que le pays puisse bénéficier de la prochaine tranche d'aides de secours et ainsi éviter un manquement à ses engagements souverains lorsqu'elle devra rembourser les 14.5 milliards d'euros de bons du trésor arrivant à échéance le 20 mars.
Il a toutefois retrouvé des couleurs après que l'Italie ait réussi à émettre pour 7.48 milliards d'euros de dettes à long terme, à des taux inférieurs à ceux constatés lors d'un évènement similaire le mois dernier.
Cette adjudication constituait un test crucial de la capacité du pays à lever des fonds sur le marché international, après avoir pourtant été dégradée de deux crans vendredi par l'agence de notation Fitch Ratings.
Les coûts des assurances sur les emprunts décennaux portugais ont cependant encore battu ce matin tous les records depuis la mise en place de la monnaie unique, ravivant l'angoisse selon laquelle le pays pourrait devoir recourir à un second plan de sauvetage international.
La livre sterling a toutefois gagné du terrain sur l'euro, l'EUR/GBP laissant échapper 0.59% pour sombrer à 0.8357.
Les autorités des Etats-Unis comptaient quand à elles dévoiler aujourd'hui le volume des dépenses individuelles ainsi que l'indice des prix au détail.