Investing.com - La livre sterling est descendue vers un creux des trois derniers mois face au dollar U.S. ce jeudi, sa popularité se trouvant écornée par l'expectative de la déclaration des taux de la Banque d'Angleterre et des enchères de dettes espagnoles.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.528 en début de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 6 octobre, puis s'est stabilisée vers 1.5301, perdant 0.19%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.527, son plancher du 6 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.5335, son plafond du jour.
Les investisseurs demeuraient prudents alors que l'Espagne avait prévu d'émettre aujourd'hui jusqu'à 5 milliards d'euros en bons du trésor parvenant à échéance en 2015 et 2016, l'Italie espérant faire de même demain avec 4.75 milliards d'euros en titres quinquennaux.
Les taux des emprunts décennaux espagnols se limitaient à 5.36%, tandis que leurs équivalents italiens dépassaient à peine la barre des 7% considérée comme la limite de l'intenable avec 7.04%.
Les observateurs guettaient aussi impatiemment la réunion de la Banque Centrale Européenne de cet après-midi, au cours de laquelle celle-ci maintiendra probablement ses taux à 1%, et rappellera aux gouvernements du bloc euro qu'ils doivent renouveler leurs efforts afin de lutter contre le problème du surendettement régional.
L'agence de notation Fitch Ratings avait déclaré hier que la BCE devrait augmenter ses achats de dettes émises par la zone euro afin de soutenir l'Italie et éviter un effondrement "cataclysmique" de la monnaaie unique.
La banque centrale britannique ne devrait quand à elle pas annoncer de changements de son taux d'intérêt de base ni dans son programme d'achats d'actifs.
La devise de la Grande-Bretagne a également perdu du terrain sur l'euro avec un couple EUR/GBP gagnant 0.32% pour grimper à 0.8316.
Le Royaume-Uni a par aileurs prévu de dévoiler les chiffres de sa production manufacturée ainsi que son estimation mensuelle du produit intérieur brut dans la journée.
Les autorités des Etats-Unis feront de même avec leurs informations sur les ventes au détail, ainsi que sur les nouvelles inscriptions au chômage.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.528 en début de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 6 octobre, puis s'est stabilisée vers 1.5301, perdant 0.19%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.527, son plancher du 6 octobre, et de rencontrer de la résistance à 1.5335, son plafond du jour.
Les investisseurs demeuraient prudents alors que l'Espagne avait prévu d'émettre aujourd'hui jusqu'à 5 milliards d'euros en bons du trésor parvenant à échéance en 2015 et 2016, l'Italie espérant faire de même demain avec 4.75 milliards d'euros en titres quinquennaux.
Les taux des emprunts décennaux espagnols se limitaient à 5.36%, tandis que leurs équivalents italiens dépassaient à peine la barre des 7% considérée comme la limite de l'intenable avec 7.04%.
Les observateurs guettaient aussi impatiemment la réunion de la Banque Centrale Européenne de cet après-midi, au cours de laquelle celle-ci maintiendra probablement ses taux à 1%, et rappellera aux gouvernements du bloc euro qu'ils doivent renouveler leurs efforts afin de lutter contre le problème du surendettement régional.
L'agence de notation Fitch Ratings avait déclaré hier que la BCE devrait augmenter ses achats de dettes émises par la zone euro afin de soutenir l'Italie et éviter un effondrement "cataclysmique" de la monnaaie unique.
La banque centrale britannique ne devrait quand à elle pas annoncer de changements de son taux d'intérêt de base ni dans son programme d'achats d'actifs.
La devise de la Grande-Bretagne a également perdu du terrain sur l'euro avec un couple EUR/GBP gagnant 0.32% pour grimper à 0.8316.
Le Royaume-Uni a par aileurs prévu de dévoiler les chiffres de sa production manufacturée ainsi que son estimation mensuelle du produit intérieur brut dans la journée.
Les autorités des Etats-Unis feront de même avec leurs informations sur les ventes au détail, ainsi que sur les nouvelles inscriptions au chômage.